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 (LIBRE) DAVE FRANCO

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Berlioz Stilinski

Berlioz Stilinski

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MessageSujet: (LIBRE) DAVE FRANCO   (LIBRE) DAVE FRANCO EmptyVen 13 Juil - 16:05


dylan, nom au choix
You fit me better than my favorite sweater.




NOM ∞ Totalement libre. PRÉNOM ∞ Dylan. J’aime beaucoup ce prénom, et il revient partout ! Bon néanmoins, si vous n’aimez pas, vous pouvez changer. SURNOMS ∞ A votre bonne guise ! ÂGE ∞ Vingt sept ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ Tout à fait au choix. ORIGINES ∞ De même, je vous laisse libre. MÉTIER ∞ Notaire, je le vois bien là-dedans. SITUATION FINANCIÈRE ∞ Très bonne, voire excellente. Déjà pour commencer, sa famille est assez friquée. Et avec le métier qu’il fait, Dylan a de quoi s’offrir des petits plaisirs (et même un second mariage !). STATUT CIVIL ∞ Fiancé. GROUPE ∞ Je vous laisse choisir. AVATAR ∞ Dave Franco I love you . ACCEPTEZ-VOUS LA COMPÉTITION ? ∞ Je préfère ne pas réserver le scénario, j’ai eu trop de fois affaire à des gens qui m’ont demandé de réserver pour ne jamais revenir. Alors je laisse sa chance à tout le monde.


Déjà pour commencer, est-ce que vous voyez le personnage qu’interprète James Marsden dans The Notebook ? (le fiancé d’Allie) Et bien c’est exactement ainsi que je le vois. Voilà, pour la petite intro. Dylan vient d’une famille aisée, assez porté sur les coutumes de bienséance comme se rendre à l’église tous les dimanches, se marier le plus jeune possible, avoir une ribambelle d’enfants, savoir monter à cheval, jouer au lacrosse, avoir un langage apprécié, vouvoyer ses parents, etc. Dylan est le gendre idéal. Tous les parents rêveraient de voir leur fille épouser cet homme, c’est un gentleman. Dylan est quelqu’un de distingué, chaleureux, distrayant, il sait se tenir en société, il est droit, charmant, éblouissant, aimable, complaisant, compréhensif, confiant, empathique, sensible, assidu, exemplaire, débonnaire, diplomate, bienveillant, bon, doux, brave, calme, affectueux, discipliné, responsable, honnête, observateur, studieux, tempéré, héroïque, optimiste, perfectionniste. Voilà sa liste de qualité, qui peuvent parfois se transformer en défaut… Mais c’est plutôt rare, il est difficile de ne pas aimer Dylan ! Quant à ses défauts, voyons, Dylan est peut être un chouïa trop dépendant de ses parents, pointilleux, arriviste, prudent, un brin trop émotif. Il ne connait pas aussi bien Berlioz qu’il pourrait le croire, et parfois certaines des habitudes ou manies de la jeune femme ont tendance à l’excéder. On peut aussi dire qu’il est tellement amoureux d’elle qu’il lui pardonne trop vite ses bévues, comme le fait qu’elle soit partie lors de leur mariage. Dylan manque de caractère. Il n’y a jamais eu aucune dispute entre Berlioz et lui. À la différence de Berlioz et Théo… Son histoire est libre. Si ce n’est qu’il vient d’une famille de bonne société, comme dit plus haut, et que ses parents ont mit un point d’honneur à l’élever avec perfection. Il peut être fils unique ou non, comme vous voulez. Il n’aime pas trop les animaux, pour une raison que je vous laisse choisir, ce qui est bien dommage parce que Berlioz ne peut vivre sans animaux autour d’elle, en particulier les chats. Il a fait beaucoup de concessions pour Berlioz, tellement il l’aime, comme par exemple accepter la relation si particulière qu’elle a avec Théo. Mais Dylan ne l’a jamais vraiment apprécié, il ne fait pas tellement confiance au meilleur ami de sa fiancée. S’il savait ce qu’il s’est passé entre eux, surement n’hésiterait-il pas une seconde à lui casser la gueule ! Il fut assez content d’apprendre le départ de Théo, il y a vu là l’occasion de renouer avec Berlioz et surtout de ne plus la partager. Je vous laisse assez libre le choix de savoir si Dylan a entendu les rumeurs concernant le retour de Théo en ville. Je le verrais bien au courant quand même, mais agissant comme s’il l’ignorait. Et justement, il guète son retour et la réaction de Berlioz. Il y a deux ans, quand Berlioz l’a abandonné lors de leur mariage pour rejoindre Théo, il lui a demandé si elle était amoureuse de son meilleur ami. Il n’a pas eu de réponse, et il ne l’a pas oublié. Il se pose très sérieusement la question, mais il craint que la réponse ne le blesse… Dylan est le total opposé de Théo, le « meilleur ami » de Berlioz. Le reste de l’histoire est totalement libre.




Je ferme la fermeture de la robe que je suis en train d’essayer, et je m’observe dans le miroir. Pas mal, franchement je l’aime bien. Elle est gris perle, comme une nuit de pleine lune, et m’arrivant au dessous des genoux. Je ramène mes cheveux sur mes épaules, je me redonne une tête sortable. « T’es prête Maëlle à être éblouie ? » Et sans attendre de réponses, je tire le rideau, affichant un sourire de mannequin digne des plus grands podiums (okay ils ne sourient pas, mais franchement ils devraient !) et je lance un grand « Tadaaaam ! » qui résonne dans tout le magasin en levant le bras, regardez-moi ! J’arrête tout mouvement immédiat en voyant le visage de la personne qui se trouve en face de moi. Un grand brun, plutôt mince, aux yeux marron incroyables et à la tignasse un peu rebelle. « Oh. Vous n’êtes pas Maëlle. » Très bonne remarque Berlioz. Il a sourit. Et oh mon dieu, quel sourire ! « Non, et vous, vous n’êtes Raphaëlle. Et nous cherchons tous les deux quelqu’un dont le prénom se termine en ëlle. » Comme une idiote, je n’ai pas pu m’empêcher de sourire. Il n’y a rien d’excessivement drôle dans cette situation. Mais voilà, je suis une pauvre idiote qui n’est pas insensible à son charme. « Je cherche ma nièce, petite ne dépassant pas le mètre quarante, long cheveux blonds, yeux bleus, regard espiègle. Vous ne l’avez pas vu ? » Je secoue la tête. « Ah non, désolée. Il faut dire que j’étais… » Je désigne la cabine derrière moi en faisant de drôles de mouvements de mains. Oh j’ai vraiment tout d’une idiote à ce moment précis ! Théo serait là, qu’il se moquerait ouvertement de moi. Il sourit encore. Et son sourire est vraiment… incroyable ! Et même contagieux d’ailleurs, quand il sourit, on a envie de sourire à notre tour. « J’ai trouvéééé ! » Je sursaute en entendant la voix enjouée de ma meilleure amie qui se pointe à côté de moi en brandissant un tee-shirt. « Tu vois c’est celui-là dont j’te parlais ! » Elle s’arrête de gesticuler quand elle aperçoit le bel apollon avec qui je "discute". « Oh bonjour ! » Je ris doucement. « On ne se connait pas. Je m’appelle Maëlle. » « Ah la fameuse Maëlle. » Dit-il avec son irrésistible sourire. Elle se tourne vers moi et me lance un regard que j’ai parfaitement compris. Elle le trouve canon aussi. Ouais je sais Maëlle, il est trop beau ce mec ! « Dylan. » Dit-il en me regardant, puis en tendant la main à mon amie. Je continue de le regarder en souriant, enfin je crois que je souris, je ne sais plus bien… Et il repose les yeux sur moi, comme s’il attendait une réponse à une question muette. « Berlioz, elle s’appelle Berlioz. D’ordinaire elle est plus bavarde que ça. Est-ce que la robe t’étouffe ? » J’ai jeté un regard inquisiteur à Maëlle. Ça ne va pas de dire des choses pareilles ? Sauf que le seul truc que j’ai trouvé à faire, et bien, c’est d’hocher la tête… Génial, l’idiote du jour, c’est moi ! « Je vais… me changer. » Ai-je balbutié en désignant, encore une fois, la cabine derrière moi. « Et bien j’ai été ravie de vous rencontrer Berlioz. Et vous également Maëlle. » Non ne pars pas, tu as un sourire tellement beau ! « Et cette robe est merveilleuse sur vous. » Je me suis sentie rougir tout d’un coup. Ohlala non, ne pas rougir ! Ne pas rougir ! Il a fait un dernier sourire, et il est partit. Aaah ! Maëlle s’est penchée pour le regarder partir, et quand il a semblé hors de vue, elle s’est tournée vers moi en m’attrapant les mains. « Aaah, tu lui plais !!! » J’ai secoué la tête en rigolant. Pas possible. C’est impossible qu’un mec comme lui puisse s’intéresser à une fille comme moi. « Tu dis n’importe quoi. » Mais je ne pouvais m’empêcher de sourire comme une idiote.

« Hm, excusez-moi. » On s’est retournées en essayant d’afficher le plus grand calme. Bon sang il est là, il est revenu, il est devant moi ! « Je sais que c’est un peu opportun de ma part, voire même déplacé mais… accepteriez-vous de dîner avec moi un soir ? » Qui ? Moi ? Maëlle ? C’est sur, il parle à Maëlle ! Mais pourquoi il me regarde moi ? Ou c’est un effet d’optique. Ah oui voilà, c’est ça, c’est un effet d’optique. Je crois qu’il me regarde mais en fait il n’a d’yeux que pour Maëlle. Foutu effet d’optique ! Aie ! Maëlle vient de me foutre un coup de coude dans les côtes. C’est comme si j’avais reçu une décharge. Ce coup m’a fait ouvrir la bouche comme pour crier, mais à la place j’ai dit… : « Oui j’adorerai ! » Oh… mince ! Enfin non, oui je veux, mais mince c’est trop enjoué ça, non ?! Il a sourit. Oh ce sourire… « Super. » C’était presque un chuchotement, mais je l’ai entendu. Il m’a demandé mon numéro de téléphone, je lui ai donné. Il a sourit une dernière fois, et il est partit. Respire Berlioz, respire ! Je me suis retournée vers Maëlle en sautant sur place. « Aaah ! Aaah ! Aaah ! » « Je saaaiiiis ! » « J’achète cette robe ! » « Tu la porteras pour votre premier rendez-vous ! » « Mais je vais pas apparaitre toujours habillée comme ça devant lui. » « Non mais, comme ça tu verras s’il est observateur. » J’ai sourit en hochant la tête. « Ouaaiiis… » Bonne idée ! Là mon téléphone s’est mis à sonner. Sûrement Théo, il doit m’appeler dans en fin d’après-midi. « C’est qui ? » « Aucune idée, je ne connais pas ce numéro. Allô ? » J’ai haussé les sourcils en regardant Maëlle. C’est la surprise du jour. « Berlioz ? C’est Dylan. » J’ai ouvert grand les yeux et j’ai posé ma main sur le combiné en articulant muettement un "c’est lui". Elle a levé son pouce en l’air avec un grand sourire. Et puis elle est venue coller son oreille au téléphone pour entendre ce qu’il dit. « Je voulais m’assurer que vous ne m’aviez pas donné un faux numéro. » J’ai regardé Maëlle en souriant. « Toujours partante pour ce dîner ? » « Et comment ! » J’ai fait les gros yeux. « Oui, bien entendu. Cette idée m’enchante. » Je l’ai entendu rire à travers le téléphone. « Je suis ravi de vous avoir rencontrée. » « Moi aussi. » Ma voix est presque un murmure, mais je ne sais pas, je suis envahie d’une émotion bizarre. Le bonheur surement. « À bientôt Berlioz. » « Au revoir… » Et il a raccroché. Oh mon dieu, oh mon dieu, oh mon dieu ! « Je vais sortir avec un canon !! » « Faut fêter ça ! Et pour fêter ça… j’achète ce tee-shirt ! » Ah oui, le fameux tee-shirt ! Cette journée est merveilleuse ! Et j’aime cette robe !



Dylan se rassoit à côté de moi, son verre à la main. Je lui jette un regard inquisiteur. Il sait parfaitement ce que je pense des gens qui boivent. Enfin surtout ce que je pense de l’alcool et de ses effets néfastes sur le corps humain. « C’est mon premier verre. » « Ils disent tous ça. » Il m’affiche son fameux sourire, celui qui me fait littéralement fondre et devant lequel je suis incapable de résister. Voilà, je rends les armes. Je suis faible. Je souris à mon tour en lâchant ma serviette que j’entortillais alors à mon doigt. « Chérie, tu sais parfaitement que je connais mes limites. » J’hausse les épaules avec une petite moue. « Théo me disait pareil… » « À t’entendre, on croirait qu’il est mort. » Dit-il en s’esclaffant. « Berlioz relax, il va bien ! Et tu le sais. De plus, je connais vraiment mes limites. Je ne bois pas à outrance, et ça aussi tu le sais. » Encore une fois j’hausse les épaules. Mais je suis faible, il me connaît trop bien et il sait comment m’avoir. Il s’approche de moi et m’embrasse délicatement avant de sourire. Il pose son coude contre la table et tourne la tête vers la piste de danse. On passe la soirée dans un restaurant, mais qui fait également danse. Une sorte de ginguette entre autre. « Regarde-les, comme ils sont heureux. » Il parle de mes parents. De nos parents. Les siens sont présents également. Et nos deux couples préférés sont en train de danser en riant. C’est vrai qu’ils sont heureux. « Nous aussi nous pourrions être heureux comme ça. » J’hausse un sourcil en le regardant. « Ah parce que ce n’est pas le cas ? » Toujours son incroyable sourire. « On est heureux, mais on pourrait l’être plus encore. » J’hoche la tête pensivement en attrapant mon verre – dans lequel repose un coca-orange – pour le siroter. Et puis en posant un regard curieux sur mon homme, j’ajoute. « Explique-moi ta brillante théorie. » Il se met à rire mais se rapproche un peu de moi, comme s’il comptait me dire un secret, ou que pour qu’il ait mon entière attention, il fallait qu’il soit au plus proche. Seulement, s’il continue à se rapprocher autant, je vais avoir envie de lui sauter dessus et de ce fait, l’empêcher de parler. « Je pense tout simplement que leur bonheur est à leur apogée, parce qu’ils ont quelqu’un avec qui le partager chaque jour. » J’hoche la tête. Pour l’instant cette théorie me plait. « Continue. » « Et ce bonheur qu’ils partagent ensembles, existe et persiste depuis des années. Et il ne s’atténue pas. Tu vois comme ils se regardent ? C’est le regard de l’amour. » Je ne peux m’empêcher de rire. Ce n’est plus Dylan que j’ai en face de moi, mais William Shakespeare. À peu de choses près… « Ils sont heureux et amoureux parce qu’ils sont mariés. » J’ouvre la bouche en levant les sourcils. « Oooh, alors selon toi, pour être heureux, il faut être marié ? » Il hoche la tête. « Exactement. » Je me mets à rire devant les idioties qu’il me sort. « Oui mais voilà, un problème persiste. » « Oh non, lequel ? » Il prend une gorgée de sa boisson et me jette un regard super sérieux. Ce qui me fait littéralement éclaté de rire ! « On sait que depuis l’aube des temps, les enfants mettent un point d’honneur à faire le contraire de ce que veulent leurs parents. » « Tant que ça ? » Il affiche une mine déconfite, qui recèle d’affirmation. « Peut être pas depuis tant de temps, mais notre génération est ainsi. Les enfants ne veulent pas suivre la route de leurs parents. » « C’est vrai. » Je bois sans le quitter des yeux. J’ai un regard malicieux, je suis totalement captivé par ce qu’il me raconte. Je ne sais même pas où il veut en venir. « Quel est le rapport avec le mariage et leur bonheur ? » Il me sourit et marque un arrêt. Aller, continue ! « Et bien les parents veulent que leurs enfants connaissent le même bonheur. Ils veulent les voir se marier un jour et avoir des enfants. » Bien sur, des enfants, oui, tout à fait. « Donc pour que leur bonheur soit plus grand encore, il faudrait que leurs enfants se marient. »

J’hausse les sourcils. « Es-tu en train de dire que pour rendre nos parents heureux, nous devrions nous marier ? » « Voilà ce qui est embêtant. Pour les rendre heureux. Mais, et notre bonheur dans tout ça ? Je pense que pour être heureux, il ne faut surtout pas faire ce que nos parents désirent. » Je ris. Tout ça n’a ni queue ni tête. « Oh je vois, donc nous devrions ne pas nous marier pour les rendre moins heureux et nous rendre plus heureux nous même ? » Il me sourit. « Voilà. Mais il y a encore un problème. » Je lève les bras au ciel, faussement désemparée. « Oh décidément ! » « Nos parents nous connaissent, ils savent donc pertinemment que l’on va tout faire pour aller à l’encontre de leurs désires. » « Tss, voilà qui est trop bête ! Que devons-nous faire alors ? » « Je pense… » Il se rapproche un peu plus de moi. « Qu’il faut faire quelque chose à laquelle ils ne s’attendent pas. » J’hoche la tête en me retenant de rire, un air faussement inspirée par un sérieux imaginaire. « Je vois… que proposes-tu ? » « Nous devrions nous marier ! » J’éclate de rire. « Oh vraiment ? » « Oui vraiment ! Nos parents veulent nous voir marier, mais ils savent que nous allons tout faire pour ne pas faire ce qu’ils veulent. C’est pour ça qu’il faut marquer la surprise. Marions-nous ! » « Tout ça est tellement sensé ! » Je ne peux m’empêcher de rire. Et Dylan aussi. Même s’il arrive encore à rester un peu sérieux, je vois qu’il est aussi amusé que moi par cette conversation. « Mais que fais-tu de l’accord de mes parents pour nous marier ? Ils ne me laisseront pas épouser n’importe qui, tu sais. Je suis leur seule fille et ils tiennent à moi comme à la prunelle de leurs yeux. » Il prend un air songeur et termine son verre. Puis Dylan repose ses yeux sur moi, cette fois-ci avec plus de sérieux. « Et si j’avais leur accord ? » Je me mets à pouffer de rire. Mais devant son regard, mon rire s’efface. Il est vraiment sérieux là… « Berlioz Stilinski, me ferais-tu la joie et l’honneur de devenir ma femme ? » Je le vois sortir une petite boîte de sa poche et l’ouvrir devant moi pour laisser apparaître une magnifique bague. Simple, élégante, tout ce que j’aime. J’ouvre de grands yeux. Je tourne la tête rapidement vers mes parents qui continuent de danser mais en nous regardant. Alors ils sont au courant… Je regarde à nouveau Dylan. « Berlioz je t’aime, et je veux passer le reste de ma vie avec toi. Est-ce que tu veux m’épouser ? » J’ai posé mes mains devant ma poitrine, puis devant ma bouche, puis devant mes yeux. Et puis encore devant ma poitrine. J’ai regardé Dylan en souriant. Et j’ai à peine réussi à souffler un oui. Mais c’est juste ce qu’il fallait. Il a passé la bague à mon doigt, et je l’ai embrassé avec passion, amoureusement, comme jamais. C’est le plus beau jour de ma vie !



Maintenant, je dois assumer mes erreurs et faire face à la réalité des choses. Je dois m’expliquer et m’excuser auprès de Dylan. Je n’ose pas imaginer l’état dans lequel il est… que ressent-il ? Colère ? Haine ? Honte ? Désarroi ? Tristesse ? Un peu de tout ça ? Je prends une grande inspiration alors que j’arrive devant son appartement. Notre appartement… Qu’est-ce que je dois faire ? Toquer ? Sonner ? Rentrer tout simplement ? Oh, je n’ai pas mes clés, c’est vrai… Alors je toque. J’attends quelques minutes, et soudain j’entends du bruit provenir de l’intérieur de l’appartement. La porte s’ouvre doucement. Oh mon dieu… Dylan a l’air si… dévasté. A-t-il passé toute la nuit à pleurer ? Il a les cheveux en bataille, il porte toujours son costume de marié, il a les yeux gonflés et rouges… il ferait peur à voir. Et pourtant, tout ce que je ressens en le voyant ainsi… et bien, je me déteste. Je me déteste de le faire autant souffrir. Parce que je sais qu’il est dans cet état par ma faute. « Dylan… je suis désolée. » Je sais que mes excuses n’enlèveront rien de tout ça, de ce qu’il s’est passé. Je baisse la tête. Je suis prête à entendre ce qu’il a à me dire, s’il veut crier, qu’il hurle. S’il veut casser quelque chose, qu’il le fasse. J’ai mal agis et je le sais. Je m’attends à tout. A tout sauf à ça… Dylan me prend dans ses bras et me serre contre lui. « J’étais tellement inquiet ! » Inquiet ? Je pensais en colère, mais pas inquiet. « Où étais-tu passée ? » Je cligne des yeux en le regardant. Je suis quelque peu surprise, je l’avoue. Est-ce que je dois tout lui raconter ? « J’étais chez Théo… » « Oh Théo, oui, évidemment. Ça explique… les vêtements. » Je pose ma main sur sa joue, essuie une larme qui coule, lui offre un sourire qui se veut rassurant. « Pourquoi est-ce que tu m’as fait ça ? » Il se détache de moi et retourne s’assoir sur le canapé. Le sol est jonché de mouchoirs. Face à lui, sur la petite table, est posée une bouteille de vin blanc. Je referme la porte derrière moi, et je dépose ma robe sur un tabouret avec grand soin. J’ôte mes chaussures. J’avais une classe folle dans la rue… jogging plus talons de couleur saumon clair. Une vraie lady. Je m’installe à côté de Dylan, ramenant l’un de mes genoux sous mon menton. Je m’appuie contre le dossier et pose ma tête sur ma main. « J’ai eu peur… » « De quoi ? » Il me regarde avec cet air de… comme un chiot perdu. « Je ne sais pas… de faire une erreur je crois ? Au final ce n’est pas bien réussi… j’ai foutu le mariage en l’air, je t’ai fait souffrir… je m’en veux tellement. » Il me regarde un instant, me caresse la joue et repose sa main sur sa jambe. « Tu as fait quoi avec Théo ? » Je me mords la langue. Je ne peux pas lui dire la vérité. Il m’en voudrait trop, ça le blesserait trop. « J’ai eu besoin de lui parler. Tu sais comme il arrive à me calmer… il me comprend quoi qu’il m’arrive. » « Tu es amoureuse de lui ? » J’ouvre de grands yeux. Quoi ? « Qu’est-ce qui te fait penser ça ? » Dylan pose sur moi un regard à la fois sérieux et abattu. « La façon que tu as de le regarder, ou de rire à ses blagues, ou même de rire quoi qu’il dise. Tu t’inquiètes en permanence pour lui, tu parles souvent de lui, quand tu le vois, tu t’illumines… et tu es partie de notre mariage pour le retrouver lui… » Je baisse la tête et me mords la lèvre. « J’avais besoin de mon meilleur ami, c’est tout. » « Tu n’as jamais été une excellente menteuse… » « Je sais… » Ma voix est presque un murmure. Je relève la tête. « Il s’en va, il déménage. » « Où ça ? » J’hausse les épaules. « Je ne sais pas, loin j’espère. » Dylan soupire. « Je suis tellement désolée ! C’est la pire erreur de ma vie ! J’ai eu peur, j’ai paniqué ! Dylan, je t’aime. Je m’en veux tellement ! » Il fixe la bouteille presque vide sur la table. « Tu n’as pas répondu à ma question. » « Quelle importance, il s’en va de toute façon ? » « Berlioz, je ne veux pas être ton second choix ! Je ne veux pas être le mec qui comblera le vide qu’il installe dans ton cœur. Je veux être celui qui hante tes pensées, celui que tu aimes, celui qui t’aimera plus que tout, celui qui… » Je ne l’ai pas laissé terminé, je me suis penchée en avant et je l’ai embrassé. « Dylan, je t’aime et je n’aime que toi. J’ai fait la plus grosse erreur de ma vie… pardonne-moi s’il te plait ? Ou ne me pardonne pas ! Mais donne-moi une seconde chance. S’il te plait ? » Il a baissé un instant la tête avant de m’attirer vers lui. « J’en mourrais si je devais te perdre encore une fois… » Et il m’a embrassé. Je ne sais plus trop alors si je pleurais ou si je souriais, peut être les deux… Mais ce dont je suis sure, c’est que dorénavant, je ne vais plus rien faire de stupide. Je ne ferai plus rien qui le blessera. Parce que je l’aime…



Quand je suis rentrée, Dylan est venu à ma rencontrer pour m’embrasser avec un grand sourire. « Alors, comment va-t-elle ? » Il parle de Maëlle. Depuis quelques temps, je ne la lâche presque plus. Déjà avant nous étions proches, mais maintenant je sais qu’elle a besoin de moi. Elle râle, me dit qu’elle veut être seule, qu’on la laisse tranquille. Mais je sais très bien que la solitude ne l’aidera pas. Pas après avoir perdu son bébé. « Moyen… » J’enlève mes chaussures et m’assois sur le canapé. « Dylan, est-ce que tu as entendu des rumeurs cette semaine ? » Il lève les sourcils et vient s’assoir à côté de moi. « Quel genre de rumeurs ? » « Le genre… vieux fantômes du passé qui refont surface… » Il me regarde comme si j’avais perdu la tête. « Euh, non… non, je ne vois vraiment pas. » J’hoche la tête en fixant un point invisible. Je dois perdre la tête alors. J’ai entendu quelqu’un dans un café aujourd’hui qui disait avoir eu vent du retour de Théo. Théo… Jefferson ? C’est le seul Théo que je connaisse. Il ne peut pas être de retour ? Pas après deux à disparaitre ainsi, dans la nature, sans donner aucun signe de vie ? « J’ai reçu une réponse de ma grande tante, elle vient pour le mariage. Avec un nouveau compagnon. » « Ah, c’est bien, c’est bien… » « Chérie, qu’y a-t-il ? » Il vient se rassoir à mes côtés et repousse mes cheveux derrière mon oreille. Je secoue légèrement la tête et je regarde Dylan comme si je m’apercevais à l’instant de sa présence. « Rien, rien du tout. Tout va bien. » Je me lève et m’avance vers la salle de bain. « Au fait, ce soir on sort avec Maëlle et Kent ! » Et je disparais. Non, Théo ne peut pas être de retour ! Quoi qu’il en soit, Dylan ne doit surtout pas le savoir. Ne pas revoir Théo, ne pas le croiser. Je dois m’occuper de mon mariage, m’occuper de ma meilleure amie. Et c’est tout !
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MessageSujet: Re: (LIBRE) DAVE FRANCO   (LIBRE) DAVE FRANCO EmptyVen 13 Juil - 16:45


trèèès attendu I love you


Hello everyone! Merciiiii tout d'abord d'être arrivé jusqu'ici et d'avoir lu mon scénario (LIBRE) DAVE FRANCO 1366640713 (vous l'avez lu hein ? Ahah ! (LIBRE) DAVE FRANCO 1881463262 (LIBRE) DAVE FRANCO 2994774608 ) Voilà ce que j'attends un peu du scénario (LIBRE) DAVE FRANCO 3533921347

    l'avatar n'est pas négociable. J'ai vraiment imaginé le personnage de Dylan avec Dave Franco en tête (LIBRE) DAVE FRANCO 1366640713 I love you avouez qu'il a la tête de l'emploi ! (LIBRE) DAVE FRANCO 2113965524 Du gars super gentleman, limite parfait, qu'on est incapable de détester et dont toutes les filles rêvent (LIBRE) DAVE FRANCO 2879099665 (LIBRE) DAVE FRANCO 1366640713 (LIBRE) DAVE FRANCO 3602195817
    j'aime beaucoup le prénom Dylan I love you et il revient limite partoooouuuut dans ma fiches, et rps à venir. Mais bon, si vous n'accrochez pas je pourrais comprendre et ça reste négociable. Ne prenez pas un truc trop laid (LIBRE) DAVE FRANCO 2474380249 L'histoire est libre tant que vous respectez les indications que je vous ai donné.
    et pour finir, le niveau, faut bien en parler. Je suis une vraie malade des fautes (LIBRE) DAVE FRANCO 1881463262 limite j'en ai la phobie (LIBRE) DAVE FRANCO 3602195817 j'en déconne mais sérieux ça m’horripile, donc si vous pouviez en faire le moins possible ? (LIBRE) DAVE FRANCO 1366640713 Sinon je ne suis pas trop chiante pour la présence, je comprends les coups de mou ou le manque de temps, ça arrive, juste j'aimerai être prévenu dans de tels cas (LIBRE) DAVE FRANCO 456023687 et ne pas être abandonnée (LIBRE) DAVE FRANCO 1805953252 pour le niveau, bon j'dois vous avouez que j'écris (LIBRE) DAVE FRANCO 1881463262 en moyenne une page word, quand je suis peu inspirée, pour que vous voyez le niveau. Donc si vous aimez écrire, c'est tout parfait, parce que j'aime lire (LIBRE) DAVE FRANCO 2113965524

Et voilààààà (LIBRE) DAVE FRANCO 281155270 Sachez que je vous aimeraaaaiiiii très très fort si vous prenez mon Dylan (LIBRE) DAVE FRANCO 2676705355 (LIBRE) DAVE FRANCO 702243357 (LIBRE) DAVE FRANCO 811409510 (LIBRE) DAVE FRANCO 2663297705 pour l'évolution, sachez que tout va vite se compliquer avec le retour de Théo, et Berlioz va devoir se retrouver confrontée à une choix. On peut même pousser le vice jusqu'à un ultimatum que lui lancerait Dylan. Tout ceci est à voir, à jouer, enfin bref, je vous promets du fun ! (LIBRE) DAVE FRANCO 281155270 (LIBRE) DAVE FRANCO 2113965524 I love you (LIBRE) DAVE FRANCO 2676705355 (LIBRE) DAVE FRANCO 3324193100
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