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 (pv) les gens partent, mais pas les sentiments » charlie.

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Mairéad Hawkes-Johnson

Mairéad Hawkes-Johnson

MESSAGES : 28
A EMMÉNAGÉ LE : 09/07/2012
PSEUDO : kassandra.
AVATAR : pheebs.
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MessageSujet: (pv) les gens partent, mais pas les sentiments » charlie.   (pv) les gens partent, mais pas les sentiments » charlie. EmptyJeu 12 Juil - 15:23

Citation :

maison des hawkes-johnson.
Le drap épousait parfaitement les courbes de son corps, il était cependant à moitié découvert, laissant apparaître une de ses jambes et le haut de son corps. Elle dormait paisiblement, enfin elle en avait l'air, la vérité est qu'elle n'a pas réussit à dormir de la nuit, se couchant vers vingt-trois heures du soir, elle n'a réussit à trouver le sommeil qu'à six-heures du matin, cela ne fait que trois heures qu'elle dort. Malheureusement pour elle, cela ne continuera pas puisque dans le calme de sa chambre, un léger bip bip se fit entendre puis une chanson. La jeune femme grogna au bout de quelques secondes, sa main se leva et chercha énervée sur sa table de nuit la cause de son réveil, mais lorsqu'elle voulu appuyer sur le bouton, sa main glissa et le réveil tomba par terre, se fracassant en plusieurs morceaux, au son du fracas elle se réveilla en sursaut, se penchant pour regarder l'état de son ancien réveil. « super ... » la journée commençait bien. Alors qu'elle se frottait le visage avec sa main, la porte de sa chambre s'ouvrit sur sa mère. « mais qu'est-ce-qu'il s'est passé ? » Mairéad releva la tête vers sa mère et soupira alors qu'elle se laissait tomber sur le dos. « rien. » sa mère ne chercha pas à comprendre et referma la porte derrière elle. Mairéad avait besoin de sommeil, si elle n'avait pas ses huit heures de sommeil ça n'allait vraiment pas, surtout si la cause de son insomnie est sa vie. Elle entendit alors sa mère hurlait qu'il fallait qu'elle descende pour le petit déjeuner, elle grogna en mettant son oreiller sur son visage « je veux dorm » mais elle n'eut même pas le temps de finir son mot que sa mère hurla une nouvelle fois, la jeune femme balança l'oreiller à travers sa chambre et se leva de son lit, prenant le peignoir sur sa chaise et l'enfila tandis qu'elle descendait les escaliers « habille toi avant » Mairéad s'arrêta, elle sentait déjà ses nerfs à fleur de peau, elle avait vingt-trois ans et vivait encore chez sa famille, enfin, façon de parler, son père était peu là, quand à sa mère, elle était là de temps en temps et ces fois là, Mairéad regrettait de l'avoir dans les pattes, comme ce matin. « maman ! » dit-elle, mais sa mère n'avait pas l'intention de lâcher le morceau, Mairéad abandonna et remonta les escaliers en tapant du pieds, faisant comprendre à sa mère qu'elle en avait ras le bol. Elle retourna alors dans sa chambre, oui c'est bien le tout de vouloir s'habiller ou qu'on nous dise de s'habiller, mais la question est plutôt comment ? « tu l'aura voulu » murmure-t-elle en s'arrêtant devant son armoire, prenant tout son temps pour choisir ce qu'elle allait mettre, c'est à prendre où à laisser, soit se dépêcher de venir déjeuner ou s'habiller, mais pas les deux en même temps.

Elle ressortit de la salle de bain, une heure plus tard, enfin prête, elle descendit les escaliers, elle n'entendait plus rien, sa mère n'était plus là, un sourire naquit sur ses lèvres « enfin tranquille » tandis qu'elle allait dans la cuisine, le petit déjeuner était sur la table, prêt à être manger, pancakes, fruits, jus d'orange, tout ce qu'aimait manger Mairéad le matin, plus un post-it, signé son frère. J'ai pris tes derniers tampons, désolé, saignement de nez important. La jeune femme grimaça mais elle fut rapidement prise d'un fou rire, imaginant son frère, militaire, gradé avec un tampon dans le nez plein de sang, elle déposa le post-it sur la port du frigo, celui-là fallait le garder, elle le mettrait dans sa chambre, sur le mur des souvenirs « t'es dégueu Noran » elle se retourna et mit son petit déjeuner sur un plateau avant de partir dans le salon, s'asseyant sur le canapé. Elle alluma la télé. Tout était tranquille, enfin pas tout à fait, elle n'était pas tranquille, loin de là, toujours assise sur le canapé, son regard dévia sur le jardin, propre, elle pinça ses lèvres, elle devait lui parler, c'était urgent. Elle éteignit la télévision, prit son plateau et le déposa dans la cuisine avant de remonter dans sa chambre, il était bientôt midi, elle se lava les dents, se recoiffa, enfin bref, elle finit de se préparer.

central business district.
Elle ne savait pas tellement à quelle heure il finissait où à quelle heure il commençait, elle y allait un peu au pif avec une énorme boule de stress dans le ventre. Elle se gara tout près du bâtiment, coupant le contact, elle prit son sac et le mit sur ses jambes, fouillant dedans à la recherche de son portable, une fois la main dessus, elle chercha son numéro mais se ravisa, elle jeta son portable dans son sac et sortit de la voiture, la verrouillant. Elle se retourna, elle vit au loin un groupe de personne qui semblait l'avoir reconnu « et merde » elle vérifia une dernière fois sa voiture avant de traverser la route, elle courait presque lorsqu'elle atteignit la porte de la radio. Elle alla à l’accueil. « Bonjour. » « Bonjour, que puis-je pour vous » Mairéad posa ses deux mains sur le bureau « Est-ce que je pourrais parler à Monsieur Charlie Granger » demanda-t-elle d'un ton mal assuré « je suis désolée, vous ne pouvez pas le voir. » Mairéad posa son coude sur le bureau, sa main s'enfonçant dans sa chevelure brune. « C'est vraiment important » l'hôtesse fit un non de la tête qui se voulait désolé, chose qu'il n'était pas vrai. « D'accord, merci quand même. » elle soupira. « Mais je vous reconnais, vous êtes la petite amie du fil du maire. » Mairéad tourna la tête et fit un sourire qui se voulait sincère « Oui c'est moi, difficile de passer inaperçu bon et bien je ne vais pas vous faire perdre votre temps, au revoir et merci quand même » elle fit un pas sur le côté mais sa ruse avait fonctionné, l'hôtesse la rappela et lui indiqua où il était. « merci beaucoup ! » dit-elle avant de partir dans la direction qu'on lui avait donné, serrant son sac contre elle, elle attendit l'ascenseur, qu'elle prit avec plusieurs personnes, elle baissa la tête, espérant qu'on ne la reconnaisse pas. Logiquement, elle n'avait pas le droit d'être là mais qu'importe, si il fallait qu'elle lui parle sur son lieu de travail alors elle le ferait. Elle arriva très vite à l'étage en question, elle était devenue très vite la seule dans l'ascenseur, elle sortit à pas de loups. Elle chercha la salle, elle tomba rapidement dessus, le mur était en vitre, elle voyait tout mais elle fit en sorte qu'on le vit pas, elle chercha du regard et le trouva, il avait l'air heureux, un sourire naquit sur ses lèvres, son coeur faisait des bonds étranges dans sa poitrine, elle tourna la tête, elle ne savait même pas si il allait accepter de lui parler, quand elle reposa son regard sur lui, il la vit, elle eut un hoquet de surprise et recula, sa main sur son visage, elle secoua la tête « mauvaise idée, très mauvaise. » elle avait deux choix, soit partir, soit rester et attendre. Elle était paumée, alors qu'elle faisait inconsciemment des pas vers la sortie, elle entendit des tapements de mains, des rires, une porte qui s'ouvre et des bruits de pas, son sang ne fit qu'un tour, elle trouva alors un renfoncement et s'y cacha, les personnes sortaient sans même la voir. Elle soupira de soulagement, croisant ses bras contre sa poitrine, sa main cachant son visage « mais qu'est-ce-que je fous là. »
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