NOM ∞ Mon nom n'est pas vraiment des plus "populaire" ou bien des plus originaux. Jefferson, tu connais ? C'est un mixte de Jeff et Erson ... J'connais pas d'Erson par contre je connais un Jeffster. Non mais de toute façon on s'en fou de mon nom de famille à moins que soit Facteur dans ce cas ça peut être utile sinon je vois pas en quoi mon nom de famille va te servir ? T'es du KGB ? FBI ? Ou alors t'es juste une de mes groupies qui tentent de revenir dans mon lit ? Sorry je suis pris enfin pas techniquement parlant mais la machine est hors d'usage. PRÉNOM(S) ∞ Juste Théo ! T'y as cru, non je rigole ou pas. Je m'appelle Théo, mes amies m'appellent ainsi, c'est le prénom que mes parents ont choisi à ma naissance. A la base je devais m'appeler Thomas mais, en faite y a eu un incident avec un mec de l'entretient. Parait-il qu'il a aidé mon père a sortir de là ou il était ... Ouais je sais : on dirait Ross dans Friends. C'est un peu ce que j'ai pensé à voyant l'épi. A mon avis mon père ne voulait juste pas avouer qu'il était un soumis de la vie ... Ma mère a gagné, Théo est passé. C'est toujours mieux qu'Emmet tu trouves pas ?! Si je trouve. SURNOMS ∞ Ah si y a bien un truc que je déteste : les surnoms. C'est bon quoi on t'a donné un prénom, ce n'est pas fait pour les chiens. D'ailleurs même mon chien il a eu la dose surnom, tous plus ridicule les uns que les autres. Oui c'est possible. Rêve pas je te dirais pas mon surnom et puis plus j'y pense et plus je me dis que j'ai tout fait foiré ... Bref je déteste les surnoms, si tu me surnommes dans la rue, c'est pas dit que je me retourne. ÂGE ∞ J'sais pas tu veux lequel ? Mon vrai qui va avec ma date de naissance ou celui qu'on me donne en permanence qui va avec mon degré de connerie. En gros celui que j'ai dans ma tête quoi. Alors en vrai j'ai vingt six ans, et il paraît que je fais plus. Les gens me donnent souvent vingt huit ou plus ... Sérieux j'ai une tête de vieux ou quoi ? Et dans ma tête j'ai pas loin de la vingtaine ... Grandir c'est un concept qui m'échappe ... Non je ne suis pas peter pan. Juste que plus tu grandis et plus tu fais des conneries. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ J'ai poussé mon premier hurlement à Portea, à l'opposé de Melbourne. A la base j'étais censé naître ici, mes parents avaient tout prévu pour le jour J, la chambre d'hôpital ... Le jour, la valise, bref les galères qu'on prépare pour un accouchement. Sauf que ce jour là mes parents sont allés visiter une de mes tantes à Portsea. L'coin a du me plaire car ma mère a perdu les eaux et j'ai ma cousine de quoi ? 5 ans de plus que moi. Ah cru que ma mère perdait ces vrais Os, vous voyez l'délire ? La gamine elle était paniquée. D'un sens je la comprends si les adultes ne sont pas clair dans leur propos. Du coup en ce merveilleux jour 14 juin 1987, mes parents bah ils sont devenus mes parents quoi. ORIGINES ∞ J'aurais bien du sang de marmotte qui coule dans mes veines mais, ça ne fait pas de moi une marmotte. L'pire c'est que ce n'est pas considère comme une origine. Je dirais que non je n'ai pas d'origine, en même temps j'ai pas la tête du mec qui va faire ou s'apprête à faire son arbre généalogique. MÉTIER/ETUDES ∞ Who ! Doucement avec les sujets qui fâchent pourquoi tu m'attaques d'entrer de jeu. T'as vu sur ma tête que s'était marqué Looser alors tu t'es dit tiens on va lui demander son parcours ... Et bien j'ai eu un parcours basique j'ai quitté l'école à 21 ans car j'en avais ma claque et moi les bouquins ce n'est pas mon style. Mon père voulait faire de moi, un mec ambitieux et carriériste ! Loupé ! J'ai fini par m’orienter vers un truc manuel, j'aime la peinture et tout ce qui porte à l'eau ... Allez savoir pourquoi. En tout cas je suis doué de mes mains. Les dames ne s'en sont jamais plein. SITUATION FINANCIÈRE ∞ De se côté là je n'ai pas à me plaindre si on veut ... Bien que je m'en passerais. On va dire qu'il y a une certaine somme sur mon compte en banque qui me permettrait de me comporter comme un mec arrogant, prétentieux et qui abuse de l'argent. Sauf que j'y touche pas, j'en ai fini avec le jeu ... Et puis j'ai pas besoin d'autant d'argent suetout que c'était celui de mes parents. Le peu que je gagne me suffit, on va dire que techniquement j'ai pas assez d'tunes pour rendre une nana heureuse dans le genre Gabrielle qui aime le luxe et compagnie. Je dis bien techniquement quand on me regarde et tout mais, si on approfondis je peux me payer tout ce que je désire. Chose que je fais pas, le stricte minimum m'a toujours suffit. STATUT CIVIL ∞ Je suis marié depuis que j'ai 8 ans ... Quoi comment ça c'est pas possible. Si je te le dis, j'ai la promesse a une nana quand j'avais 8 ans qu'un jour je l'épouserais ce que je n'ai pas fait. Un autre s'apprête à le faire et voilà ... Bah j'ai les boules, c'est moi qui doit lui passer la bague au doigt ! Oui je suis prêt, enfin je crois ... Tu l'auras compris l'ami l'état civile me déclare célibataire mais, ma tête et mon coeur ainsi que mon corps disent le contraire. Ils sont pris et plus que pris ... Si j'avais su plutôt ... GROUPE ∞ Renee est mon alter égo féminin ... En plus, c'est tout de même Wilhelmina Slater Et ce n'est pas rien. AVATAR ∞ Sébastian Stan.

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Quand j'écoute une chanson je peux l'écouter en boucle pendant facile plus d'une heure. Surtout si une chanson qui m'inspire ou qui me plait tout simplement. Pareil pour un album, je peux l'écouter en boucle dans la voiture sans m'en lasser, au point que je peux finir par le rouiller. Ça agace mon entourage qui aimerait parfois que je change de chanson ou d'album ... J'aime pas, je peux pas en profiter. ✜ Je dois dormir complètement dans le noir et ça depuis quoi ? Un bout de temps, dire que quand j'étais petit il me fallait systématiquement une lumière sinon je pouvais pas dormir. J'dormais même pendant des concerts ... La vie a changé car maintenant un rayon, voyant lumineux ou autre et bah ça me stresse. Je peux pas, il me faut le noir complet. ✜ En restant sur le sommeil, quand je vais au lit j'aime que mon lit soit fait au carrée, genre à l'armée tu vois le genre ? C'est assez étrange de la part d'un mec, surtout quand tu vois que je suis un bordélique. Non mais mon lit c'est mon lit ! Donc il doit être propre, carrée, pas un plie qui dépasse ... sinon c'est simple je refais tout. C'est agaçant je le conçois surtout que le matin je me réveille n'importe comment mais, bon c'est l'matin. ✜ Je suis allergique aux fraises et j'ai découvert ça bêtement ... Mes parents avaient acheté des fraises au marché, et j'en ai avalé une .. Je suis passé par toutes les couleurs de peau qu'on peut voir sur un petit garçon blanc de cinq ans. Direction les urgences ... Pour savoir pourquoi j'avais une tête d'éléphant man ... Du coup j'évite ce fruit. Dommage c'est assez sexy et enviable quand c'est dans la bouche d'une jolie femme ... ✜ J'ai possédé mon permis moto avant mon permis voiture. J'adore la moto, c'est pour moi une sensation de liberté. La vitesse, l'adrénaline ... Je peux pas m'en passer. J'adore ça. En plus on est seul sur sa bécane, on va là ou en veut ... Ma moto m'est bien utile je dois l'avouer. La voiture, je m'ennuie rapidement et puis on peut pas griller un bouchon. C'est vrai ! Alors qu'en moto tu sens beaucoup plus la vitesse. ✜ On peut me considérer comme un ancien alcoolique et aussi drogué ... Oui comme toutes personnes j'ai fait des conneries dans ma vie. L'alcool est vraiment dangereux pour la santé ... J'en ai trop abusé un soir, résultat j'ai fait un coma éthylique et je suis passé à deux doigts de la mort ... J'dois ma vie à TJ, qui a eu les bons gestes au bon moment ... Si y avait que ça, oui j'aimais aussi fumer par ci par là ... Il m'arrivait de dépasser les bornes ... Voir trop souvent. Pourquoi j'ai tout stoppé ? Parce qu'une personne plus qu'important à mes yeux me l'a demandé. Je ne pouvais pas imaginer ma vie sans elle, du coup j'y suis allé ... Je suis resté un an sans boire une seule goûte d'alcool et il m'a fallut d'un soir pour tout changer. Un soir ou j'ai dérapé et au matin je me souvenais plus de rien ... Depuis je me suis repris en main et je suis complètement sobre depuis deux ans. Je sais me contrôler et à la place quand ça va pas et bien je vais boxer. ✜ En effet mon psy à la clinique m'a avoué que je noyais dans l'alcool ma colère, ma peine et mon anxiété ... C'est pourquoi elle m'a conseillé un sport, un endroit ou je puisse évacuer ça. La boxe m'a semblé parfait. J'ai commencé à taper dans le puching ball ... Et petit à petit j'y ai pris goût à chaque fois qu'une rechute pointait, je fonçais mettre mes gants et je partais pour une séance. J'crois pas à tuot ce qui est méditation ou autre connerie. J'crois surtout qu'une personne peut vraiment vous poussez à changer. ✜ J'viens d'adopter un chien qui répond au prénom de Stitch ouais comme le "monstre" dans le Disney. Il est plutôt marrant et sympa. J'adore les bêtes au moins ils te comprennent rapidement et savent quand tu ne vas pas bien. Tu sais que tu peux compter sur eux d'une manière ou d'une autre si tu vois ce que je veux. Ah ouais je t'ai pas dit c'était quoi la race de mon monstre, il fait craquer les nanas. Un chien des Pyrénées. Là ça va il est encore petit mais, il prend déjà de la place. Qu'est c que ça va être dans deux ans ... ✜ Je me craque souvent le cou ... J'adore faire craquer mes membres et surtout mon cou. A chaque fois que je le fais, c'est un signe que je suis fatigué. Mon corps me dit d'aller au lit. ✜ J'ai toujours un paquet de gum dans mes poches. Réflexe aussi quand j'ai envie de clopé, hop un chewing-gum et je mâche. Pas comme un vache par contre. ✜ Depuis que je suis gamin je collectionne les objets qui se rapportent à la saga Retour vers le Futur. Je suis un Fan inconditionnel ! Autant vous dire que dans mon garage y en a la dose. Ouep laissez moi l'temps de trouver un logement décent avec mon pote avant d'installer ma collection.

01. Depuis quand êtes-vous à Melbourne ? Bah depuis ma pré naissance, bien avant que je pousse mon premier hurlement je dois dire. Mes parents y sont nées si tu veux tout savoir, donc il ne comptait pas déménager. Bah ouais avoir mamy pas loin c'est pratique comme nounou. Cette ville a toujours eu un ... j'sais pas trop comment dire ça, pour mes parents. Je ne pouvais pas partir, de vous à moi elle est pas mal la ville. Et puis y a eu l'accident et je me sentais plus chez moi. J'avais besoin de bougé, donc j'ai pris ma moto et je suis parti. Là je suis bien de retour et même que je crèche sur le canapé de TJ. Beh ouais j'ai vendu la maison de mes parents et la flemme d'éplucher les journaux pour trouver un appart' et puis vivre avec lui c'est plutôt bien.

02. Qu'est-ce qui vous a poussé à vivre ici ?: Rien et Tout à la fois. D'abord je suis né ici, j'ai grandis ici. J'ai pas forcément eu le choix, vous vous voyez vous à sept ans prendre votre baluchon pour partir à l'aventure ? J'suis con mais, pas à ce point. Et puis y a eu elle, ouais je pourrais te dire son prénom. Pour moi c'est Marie pour toi c'est Berlioz Capiche ? Elle est arrivée dans ma vie, un peu comme BUZ l'éclair, oui ils sont arrivés la même année. Dans ma vie hein. Et du coup bah je suis resté ici, j'ai fais pas mal de voyage ... En revenant toujours ici et puis y a deux ans j'ai tout plaqué. Les parents n'étaient plus là, j'avais fait une connerie, enfin je crois ... J'sais pas trop en faite et du coup j'ai tout plaqué. Là si je reviens c'est pour la reconquérir ! Après tout c'est moi son premier mari, alors elle pourrait habiter à pétaouchnoc ! Et bah j'irais là bas, c'est un peu ma destinée. Ouais mélo je sais mais TG si tu le racontes je nierais.


03. Comment est, pour vous, la vie dans ce quartier ?
Ma foi elle est pas mal ... C'est assez chiant parce que tout le monde sait tout ... Vive les surprises non mais, c'est vrai ! Tu reviens en ville et PAF ! Là ta tout le monde qui est au courant, y a la nana qui était amoureuse de moi au lycée qui a débarqué sur le pas de la porte à quoi ? Allez facile sept heures du mat', moi j'étais en calbute et j'ai ouvert comme un con. Et bah j'aurais pas du ! D'abord elle m'a tué mes tympans, ensuite elle m'a filé une migraine. Et non je ne l'ai pas culbuté si c'est ce qu'on pense. Aucunement j'ai même pas parlé. TJ a pris le relais et elle a dégagé, sauf que c'est la pire commère et du coup bah tout le voisinage est au courant. Super ! Dans l'ensemble j'ai pas à me plaindre, du moment que je peux dormir et qu'on vient pas me déranger toutes les cinq minutes ça va.

04. Entre Lynette, Bree, Gabrielle, Susan et Renee, par qui vous identifiez-vous le plus ? D'abord je ne suis pas une femme donc ça va être physiquement dur de m'identifier à l'une d'entre elles. Niveau série j'ai vu et survolé quelques épisodes ouais TJ fait assez gay sur les bords du moins quand il commence à regarder la série. Soit disant c'est un piège à filles ... A vrai dire que je pense que la mieux comme je t'ai dis plus haut : Renee ! Ouais car elle sait être une garce jusqu'au bout et surtout elle obtient ce qu'elle veut en matière d'homme comme moi pendant un temps avec les femmes. Et dans le fond je me retrouve un peu en elle. Ça te va ?! En même temps c'est la seule qui n'est pas de gamin ... et qui n'est pas gnangnan ...

05. Faites vous attention aux apparences ?J'ai envie de te dire : rien à foutre. Chacun fait comme il veut. Si tu parles physique beh, un peu quoi. J'ai beau être assez beau au naturel, j'aime sortir en ayant un peu décence. Tu vas pas me dire que toi tu kiffes en plus des pâtes au beurre sortir vêtu comme un cachalot ? J'sais y en a que ça gêne pas et bah pas moi. J'aime porter des trucs dans quoi je suis à l'aise ... Et si tu parles de mon entourage, j'en ai strictement rien à foutre. Je suis pas une commère, la voisine peut se taper son jardinier que j'en aurais rien à foutre. Attention je dis pas qu'elle le fait.

Rencontre TJ & Marie.

J'suis un homme un vrai. La preuve j'ai un poil sur l'torse.

Pas mal cette soirée, j’avoue qu’elle a du goût. Merde j’ai perdu Marie … TJ est en charmante compagnie … J’attrape ma bière, la finissant cul sec. « WHOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU. OOOOOOOOOOOOOOOOOOOH I WANT YOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU » A peine j’ai eu le temps de comprendre que Marie m’a entraîné sur la piste de danse. Je rêve ou elle paraît ivre … Pourtant elle n’a pris qu’une bière … Vas y qu’elle se déhanche sur la musique. On la tient plus. « Tu crois pas qu’il est temps de rentrer. » Elle se rapproche vers moi en me faisant des petits yeux. « Non teu plait encore un tiiiii peu. » A peine a-t-elle fini la phrase, qu’elle se tire dieu sait-où ! C’est pas possible, je ne cours pas dans toute la maison pour la chercher. « Marie t’es où. » Non pas toi, la blonde me fait un regard de coquelicot ! Oui ça existe. Je regarde un peu partout, survolant la salle. Non mais, là il est l’heure de rentrer. Mes parents sont plutôt cool sauf que si on rentre à pas d’heure et bien on risque de se faire tuer. Au moins ma mère va me tuer au petit déj. « OH MON DIEU ! » Je ne bouge plus ! Mon regard est bloqué sur cette superbe créature qui n’est autre que Marie qui danse sur le bar ! Tous les mecs la regardent, non mais, j’hallucine. « Poussez-vous » «OOOOOOOOOOoh t’y viens me rejoindre pour danser. » « Non pour rentrer ». Je la vois qui réfléchit et il m’en faut pas plus pour l’attraper par les pieds et la foutre sur mon épaule. « Hey mec t’abuse, on matte nous. » Je m’arrête. Fixe le mec « Et mon poing tu veux le fixer aussi. » Il se recule rien qu’en voyant mon regard. Je sens Marie qui me tapote les fesses. « C’est pas mon popotin lui ! » On est parti pour rentrer à pied … Et je ne vais pas la porter tout le long de la route. « Tu me lâches pépito ! » Et voilà elle raconte n’importe quoi. J’la repose à terre. « Pourquoiiiiiiiiiiiiiii on est parti ? » Elle bouge plus me fixant de ces yeux percutant ! On dirait … on dirait Marie qui me fixe attendant une réponse de moi « Parce que. » Je la fixe … oula ! Ça sent pas bon pour moi, ces joues se gonflent, ces poings se serrent et ces sourcils … « Parce que c’est pas une réponse !! Je veux une VRAIIIIIIE réponse d’abord nah ! et pas ton parceque de merde ! » Elle s’approche de moi et me donne un coup de pied dans mon tibia « mais aie ! » « T’es cro nul d’abeurd ! » Si elle continue je la remets sur l’épaule. « Bon tu viens. »« Noon je viens pas, d'abeurd j'veux trouver le chaudron et son lutin du n'arc-en-ciel ! » Oh non mais, c’est pas possible ! UNE BIÈRE QUOI ! Je l’attrape par la taille et la remet sur mon épaule tel un sac de patate. « Lâcheeeeeeeeeee moi t’es pas un lutin d’abord ! » Elle commence à me pincer les fesses et me donner des coups ! « Tait toi » « Non ! » Le retour s’annonce long ! Heureusement on est bientôt arrivée. Enfin j’espère. « HOMES SWEET HOME ! » Je la balance sur le lit et d’un coup elle rebondit pour enfin atterrir sur le sol. J’la vois se relever et se frotter la tête « AAAAH mes fesses. » Oui d’accord j’ai eu un échange de marchandise, c’est pas Berlioz que j’ai récupéré. Et vas y qu’elle part ans un monologue indescriptible ! « BON ! Tu dors à présent. J’lui balance son doudou et son tee shirt. Si avec ça elle pige pas.Si avec ça elle pige pas. Elle fait quoi là … « YAAAAAAAAAAAATTA » Et vas y qu’elle me balance simba ! Non mais zen … Théo zen ! Je vais la tuer. Je lui tourne le dos. Profitant pour enlever mon jeans. Visant mon tee-shirt et le mettant dans l’panier. « BUT ! » Elle va jamais s’taire. Je me retourne vers elle …« Bah c’est tout … T’enlèves pas le reste. » Je souffle un bon cou et me laisse tomber sur mon lit. « Soit pas timide. » Levant les yeux au ciel. Sérieux ? Moi timide ! J’vais t’y pouvoir dormir. « Chut ! Tu vas réveiller mes parents ! Aller dort. » Elle m’regarde … J’ai peur là. « C’EST LA DANSE DES CANARRRRRRRRRRRRRRRDS » Et voilà qu’elle commence à sauter sur le lit en se déshabillant et surtout EN SAUTANT ! « JE VOOOOOOOOOOOOLE ! » Hein ? Quoi ? Oh non ! elle va pas m’sauter dessus. Je la repousse et là … C’est le drame. « Théo ? Qu’est ce qui s’passe … » manquait plus que ça … Ma mère vient de débarquer dans la chambre et là j’entends Marie rigoler aux éclats. « Vous avez pas bientôt fini ! On dort là ! » Plus personne ne bouge enfin exceptée Marie qui se relève enfile le tee-shirt fait un grand sourire à ma mère. L’genre de sourire qui cache quelque chose. J’le sens pas, elle rentre doucement dans le lit, en mode furtif. Oui ça cache quelque chose. Ma mère nous laisse après un dernier regard. « AIEE » ! Je viens de me mordre la langue pour me retenir d’hurler, sinon ma mère va encore débarquer. Elle vient de me foutre un coup de pied. Oh ça commence à bien faire là. Et l’pire c’est qu’elle continue. Stop ! Je veux dormir. Je m’retourne, l’attrape et la serre contre moi. Là elle peut plus bouger. Bon ces cheveux me chatouillent le nez. « Bonne nuit mon croooo nounours fait d’y beaux rêveeeeeeeeeees ! » aaaaaaaaaah ! J’souffle une dernière fois, c’est bon là ? Elle ronfle à présent ! Oh la vache.

tu veux faire quoi plus tard ? Chomeur..

Connaissez-vous l’enfer ?! Non pas celui qu’on définit comme l’opposé du paradis. L’autre. Celui qui nous fait perdre les moyens et le sens de la vie. Vous ne voyez pas ce que je veux dire ? Et bien j’ai connu l’enfer, celui de l’alcool, de la drogue et du jeu. Je suis tombé dedans la tête la première. Impossible de m’arrêter. J’étais devenu un vrai drogué des fêtes et des plaisirs qui s’y rapportent. Je n’étais plus maître de mon corps. Pourquoi je parle au passé ? Car là je me trouve dans un centre, qui est soit disant fait pour m’aider. A quoi ? A surmonté tout ça. Je n’ai pas le choix, ma dernière connerie m’a couté la vie. J’aurais pu tout perdre. Je ne dis pas ça pour faire jolie car c’est vrai. S’il n’était pas arrivé à temps, je ne serais pas entrain d’écrire à ce moment précis. Qui ça Il ? TJ, mon meilleur ami, il est arrivé pile à temps, la minute d’après je ne sais pas si j’aurais encore été des notre. Je ne me rappelle de rien juste que je me sentais libre. Les urgences sont arrivées rapidement, suivis de mes parents. Cette soirée est un trou noir pour moi, il m’arrive d’avoir des souvenirs, des flashs, que je préfère oublier. Pourtant je ne dois pas, c’est que mon psy me dit. Il paraît que c’est bon pour moi. Je dois me souvenir de ça pour avancer. Me souvenir du visage de mon meilleur ami au dessus de moi qui criais mon nom …

« THEOO. RESTE AVEC MOI. » Le jeune homme secouait son ami, tentant de le réveiller par tous les moyens. Lui donnant des gifles si nécessaire. « BERLIOZ ! Préviens les urgences. » Son regard se portait vers la jeune femme qui était resté en retrait au fond de la pièce. « BERLIOZ ! » Le jeune homme avait beau hurlé pour faire revenir la jeune femme parmi eux, rien à faire, elle restait pétrifiée … Incapable de faire le moindre geste ou de parler. Ses yeux étaient rivés vers le corps de son meilleur ami. « PUTAIN BERLIOZ ! » Rien n’a faire, elle n’entendait plus rien à croire qu’elle était dans une bulle. Rien n’arrivait à elle. L’autre jeune homme attrapa son téléphone, composant le numéro des urgences. « THEO ! Reste avec moi. BERLIOZ VIENT M’AIDER MERDE ! OUI allô mon meilleur ami vient de faire un coma éthylique … » On pouvait entendre la panique et l’affolant dans sa voix … Un groupe de personne s’était regroupé autour du jeune homme allongé au sol. Des chuchotements … Des remarques et puis les urgentistes arrivèrent. Leur demandant de déguerpir pour leur faire place. La dénommée Berlioz n’avait pas bougé … Elle s’était même reculée de peur, elle ne voulait pas voir ce qui allait suivre et pourtant. Elle vit quelque chose qui la fit s’avancer rapidement vers le jeune homme. Sa main avait bougé, il était vivant, il était là ! Elle accouru vers lui pour lui prendre la main. « Mademoiselle … veuillez-nous … » « Je reste avec lui ! » Elle avait dit ça d’un ton ferme, voir imposant. « J’appelle ces parents, reste avec lui, on se retrouve à l’hôpital. » La jeune femme hocha de la tête, suivant le brancard … serrant la main de son meilleur ami. « Théo m’abandonne pas, t’as pas l’droit ! » Le jeune homme avait ouvert de temps à autre les yeux …

Ces flashs je les garde enfouit au plus profond. Je me souviens de TJ hurlant, de Marie au dessus de moi et puis … trou noir complet. Je sais plus comment j’en suis arrivé là. Toujours est-il qu’à mon réveil, toutes les personnes que j’aimais se trouvaient dans ma chambre. Ma mère prêt de moi, endormi dans le fauteuil, Tj avec mon père en face. Ils discutaient et puis elle, Marie elle se tenait à ma droite, veillant sur mon cœur. C’est l’une des premières choses qu’elle a toujours fait, veiller sur mon cœur comme sur moi-même. Je lui en serais éternellement reconnaissant pour ça. Qu’est ce que je pourrais dire de plus ? J’ai failli laisser ces êtes exceptionnel derrière moi en ayant un comportement égoïste. C’est clair, est ce que je m’en veux et que je regrette. Oui.

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Voilà maintenant six mois que je suis ici. Six mois de galère, de séance, de diètes complètes au niveau de mes amies. Ils me manquent bon sang ! J’ai besoin de voir TJ, de rigoler avec lui, de l’entendre se plaindre au niveau de ces conquêtes. J’ai besoin qu’il me raconte ces péripéties, j’ai le droit de visite qu’une fois tous les quinze jours pour les personnes extérieures à ma famille. Super. Du coup, j’ai eu le droit de le voir que quinze minutes la semaine dernière et j’étais surveillé ! Autant dire que c’était galère. Je ne peux pas parler à mon meilleur pote, si je suis surveillé, j’ai l’impression d’être en prison. J’ai beau leur dire que je me sens bien, que je suis prêt à rentrer chez moi, ils ne veulent pas. Soit disant je suis trop fragile encore. Tu parles. C’est ici que je me sens faible, entouré d’inconnu. Ce n’est pas eux qui vont me dire ce que j’ai besoin d’entendre. J’ai besoin de retourné chez moi, d’être auprès des miens. C’est de ça que j’ai besoin et de rien d’autre. Merde laissez-moi sortir quoi ! Je ne demande pas la lune. Juste à rentrer chez moi, je ne vais pas picoler ou me souler … De toute façon ils sont là pour me surveiller ma mère m’a dit qu’elle avait enlevé toutes les bouteilles du bar. Qu’elle avait aménagé ma chambre pour que je ne sois pas pris d’une envie soudaine de boire ou de me droguer. Ah oui elle a fait le grand ménage et bien sûr elle m’a dit que mes revus pornos avaient finis à la poubelle. Dommage. Enfin là n’est pas la question. Aujourd’hui je dois faire le bilan de mes six mois avec mon psy. Je me souviens comme ci s’était hier de sa demande.

Berlioz monta les escaliers après avoir discuté longuement avec Eliott. Une conversation passionnée entre une fille aux cheveux bruns et un petit chien au poil noir et lisse. Regorgeant d’arguments en tout genre, de questions, de suggestions, d’analyses et de souffles rauques comme réponse de la part du chien. La demoiselle était rentrée chez son meilleur ami et voisin grâce à la clé cachée sous la grenouille. La grenouille ? Non pas une vraie, bien évidemment. Juste une horrible décoration posée non loin de la porte et qui se met à coasser lorsqu’on passe devant. Berlioz savait que Théo rentrait aujourd’hui de l’hôpital, après sa nuit passée à subir lavage d’estomac et repos intensif. Elle le revoit encore allongé au milieu de la pièce, avec TJ à ses côtés essayant de le faire revenir à lui et hurlant que quelqu’un appelle les secours. Berlioz avait été incapable de tout mouvement. Tout ce qu’elle voyait, c’était son meilleur ami inerte sur le sol. Elle n’avait jamais eu aussi peur de toute sa vie… En arrivant dans la chambre de son ami, elle s’installa dans le noir, sur le fauteuil près de la fenêtre. Maintenant, il ne lui restait plus qu’à attendre. Elle se releva pour attraper la peluche de Simba qu’elle avait offerte il y a quelques années à Théo. Symbolique. Elle lui a offert Simba, et Théo lui a offert Nala. Elle se rassit sur son fauteuil lorsqu’elle entendit la voiture des Jefferson se garer dans l’allée. La peluche posée sur ses genoux, elle commença à la caresser machinalement comme s’il eut s’agit d’un chat. Elle attendit en silence que toute la petite famille rentre. Elle put distinctement entendre la mère de Théo lui donner quelques indications avant qu’il ne monte l’escalier jusqu’à sa chambre. Pas un bruit, pas un mouvement, Berlioz l’attendait. Théo ouvrit la porte, balança son sac dans sa chambre, referma la porte, avança de quelques pas vers son lit et Berlioz alluma la petite lampe juste à côté d’elle. « Bonsoir Théo Emmet Jefferson. » Dit-elle avec une imitation parfaite du parrain de la mafia italienne. « AAAAAAH !!! » Hurla-t-il avec une voix qui frôla le plafond des aigus. Sans compter qu’il se recroquevilla sur lui-même, une main devant le visage, l’autre devant l’entre-jambe. Et la jambe gauche relevée pour protéger la jambe droite. Une position également appelée : la Morgan. « Qu’est-ce que tu fais là ? » « Il est temps d’avoir une discussion sérieuse. » Annonça-t-elle sans quitter son accent du parrain, caressant la peluche sur ses genoux. « Putain t’es xon ou quoi tu m’as foutu la trouille de ma vie !!! » Berlioz affiche un petit sourire en coin, sceptique. Mais rien de tout ça ne l’amuse. « Non mais sérieusement Théo, il t’a pris quoi ? » S’écrit-elle soudain en se levant, sans lâcher sa peluche. « Bah rien… je suis encore sous l’effet du lavement… » « Te fous pas de moi ! Je parle pas de ça, mais de l’autre soir ! Pourquoi t’as fait ça ? T’as essayé de te tuer c’est ça ? » Demande-t-elle en s’approchant de lui pour le dévisager. « J’en sais rien non fin non j'en sais rien. » Berlioz lève les yeux au ciel. « T’en sais rien, t’en sais rien. Tu sais jamais rien de toute façon ! Théo t’aime les légumes ? J’en sais rien. Théo tu veux aller au ciné ? J’en sais rien. Théo t’as un cerveau ? J’en sais rien. Théo tu te crois intelligent à boire autant ? J’en sais rien. Théo tu sais dire autre chose que j’en sais rien ? J’en sais rien. Tu n’sais jamais rien ! » La demoiselle fait de grands mouvements de bras, manquant de cogner son ami avec la peluche de Simba. Théo baisse alors les yeux en se passant une main dans les cheveux et en soufflant. « Bah quoi, j’en sais rien, j’en sais rien. » Mauvaise réponse. Berlioz le pousse alors sur son lit et l’assomme à coups de Simba. Sans foi, ni loi ! Elle est énervée ! Et ça, simplement parce qu’elle a eu peur de le perdre. « Mais arrête ! Bon sang arrête ! Tu vois pas que j'suis pas en état d'me battre ! » « Justement ! » Hurle-t-elle en lui assenant un dernier coup de peluche. « T’es pas en état parce que t’es qu’un idiot insensé qui préfère risquer sa vie à se bourrer la gueule sans se soucier du mal que ça pourrait faire aux gens qui t’aiment ! Tu t’en balances totalement qu’on flippe à mort en te voyant inconscient sur le sol, livide comme un linge, et te voir emmené par l’ambulance, rester une nuit complète à l’hôpital pendant que nous on stresse à se demander si tu vas survivre ou non ! Tu t’en fous parce que tu joues l’égoïste dépendant de ta putain de drogue et de ton putain d’alcool !! Tu comprends pas que j’ai eu peur ?! J’ai eu super peur ! J’ai cru que t’allais mourir ! J’ai cru que… » Les mots se perdent. Berlioz pose ses mains devant son visage. Elle se sent soudain très las. Une nuit complète sans sommeil à se ronger les sangs, ça épuise. Et maintenant à hurler sur Théo, elle se sent exténuée. Théo se relève alors et la prend dans ses bras, la serrant le plus fort possible, comme pour lui montrer qu’il est là, qu’il est encore en vie, qu’il ne la quittera pas. « Je suis désolé… » Berlioz relève la tête vers lui, les larmes au bord des yeux. « Si tu es vraiment désolé, alors fais quelque chose. Va… fais une cure ! Pas pour moi, pas pour les autres. Fais le toi, pour ta santé, ton bien-être. Je t’en prie, fais-le. Je ne veux pas te perdre… ce serait trop dur… » Il pose son front contre celui de son amie, plongeant son regard dans le sien. « Oui. »

« Putain ! » Et voilà ! J’ai encore oublié le rendez-vous, foutu bagnole de merde ! Elle ne pouvait pas me tomber en rade à un autre moment ? Non fallait qu’elle tombe en panne ce jour là. Et ce téléphone qui sonne. Mon père, ça va gueuler. « Ouais ... non je sais, je suis en route … quoi ? Mais non je n’ai pas oublié ! Non j’y vais … mais c’est la voiture. Mais non ! Pa’ » Il m’a raccroché au nez ! Putain le con ! Je lui ai dis que je n’avais pas oublié. Je vais aller chercher maman mais, sans voiture ça va être dur. Résultat monsieur s’en charge. Super ils vont encore me passer un savon ce soir. J’ai pu qu’à prier pour que ma mère soit zen et calme les humeurs de mon père. J’fais quoi en attendant moi ? Marie ? « T’fais quoi ? » on verra bien ce qu’elle va me répondre. Doit être entrain d’préparer son spectacle. Ouais c’est ça. Rien d’important. Elle peut bien me consacrer quelques minutes. Ah elle répond, super ! Des essayages. « Raboule. » J’vais lui proposer un truc mieux. Je rêve ou elle me dit non ! Pff ! Sympa. Vive les amies, je vais devoir rester seul devant ma tv ! Super le programme pour un vendredi aprèm. […] Hum … C’est quoi ça … Putain pourquoi on s’excite sur la sonnette. C’est bon quoi ! Laissez-moi l’temps d’émerger. « J’arrive … » Ma bouche émet de drôle de son … En même temps je me suis endormi sur le canapé, logique que je ne sois pas au top de ma forme. Oh puis ça me gratte en bas … Foutu boxer. J’devrais en prendre des moins serré. Oh puis j’ai soif ! « Ouais c’est bon ! On s’calme, j’arrive. » C’est fou ça. Les gens ne sont plus du tout patient. Où va l’monde. Nulle part ! J’sais bien. La vie est triste et pathétique. Tiens les parents ne sont pas encore rentrés ? Étrange. D’habitude maman est déjà au fourneau, papa m’aurait réveillé à coup de journal. M’dites pas qu’ils sont allés au resto sans moi … Ça serait bien leur genre en même temps. « Et oh on s’calme … Phil ! » Merde qu’est ce qu’il fout là. Ouais j’connais le nom du capitaine de la police. Est-ce que c’est un bon signe … Ça dépend. « Bonsoir Théo … Je suis désolé de te déranger à cette heure … » « Y a pas d’mal. » « J’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer. » Who … Il est aussi tendu qu’un des string d’une ami à Marie. Étrange. Surtout venant de lui. « Théo … c’est ... à propos de tes parents. » « Ah bah ils sont pas là, si t’veux j’leur dis que tes passé … » « Théo … ils ont eu un accident … » « Qui ? » Je vois son regard s’abaisser … Il me fait un regard désolé … « Non … » « Je … » « NON ! » J’attrape mes clefs et part en direction de ma voiture. « Théo ! Arrête. » Il a beau me crier voir même hurler de rester ici, je le crois. Ce n’est pas possible. Ils ne sont pas …

Je roule sans trop savoir exactement ou je dois me rendre. L’hôpital ? La maison de TJ ? Celle de Marie ? J’en sais rien, tout ce que je fais c’est appuyé sur l’accélérateur. Feu rouge … Je m’arrête ou pas ? Je fonce, appuyant d’avantage sur la pédale. Je vois la voiture freiner d’un coup. Pourquoi ?! Pourquoi moi j’y échappe et pas eux ? Pourquoi j’suis pas allée chercher ma mère comme prévu ? Pourquoi ma voiture a lâché ? Pourquoi la voiture de mon père a percuté cette voiture ? Pourquoi ont-ils fini dans la rivière ? Pourquoi je n’ai pas emmène la voiture en révision comme j’étais censé le faire la semaine dernière. « PUTAIN ! » Je pile d’un coup ! Donnant des coups de poings sur mon volant. « PUTAIN POURQUOI ! » Bordel ! Ils ne devaient pas, non ce n’est pas possible. Je … je fais quoi ... « THEO ! Theo ouvre la fenêtre. » Hein quoi ? Marie ? Je rêve ou elle est réellement là. « Non mais, ça va pas ? Ça t’as pas suffit faut que tu recommences ? A une semaine de mon mariage ? Tu … » « Ils ont eu un accident. » « Qui ? » « Mes … pa ... ils sont morts Marie … » Je tourne le visage vers elle … Je la vois, elle me comprend en un regard et s’en est fini. J’éclate dans ces bras. Je n’ai plus rien à présent … Si me reste Marie et TJ mais … J’avais encore des choses à leur dire.

Pourquoi ???

J'suis de retour pour elle.