C'EST QUOI CE BORDEL ? ~ Sérieusement, je sais, vous vous dites "mais qu'est-ce qu'elle nous veut avec ses familles ?" Et bien, sachez très chers (futurs) membres que ce sujet est avant tout fait pour vous. Pour vous aider à vous forger une idée sur chaque quartier du coin. Vous retrouverez ici 4 familles, une pour chaque quartier, dans l'ordre d'organisation du forum. Ainsi, nous espérons que vous pourrez vous imaginer en plein dans chaque quartier, que vous y retrouverez ses couleurs, afin de mieux vous situez dans tout ça.

MAIS C'EST JUSTE POUR FAIRE JOLI ? ~ Pas du tout mes enfants. À la fin de chaque description de famille, vous retrouverez les postes encore à pourvoir, et il vous suffira de vous inscrire avec le personnage qui vous intéresse, si vous êtes intéressés bien entendu. Nous nous chargerons de mettre tout ça à jour chaque fois qu'un personnage sera pris. D'ailleurs, si un point de l'histoire vous semble encore flou, n'hésitez pas à MPotter Pipouille, qui se fera un plaisir de vous aider. Sachez également qu'il n'est en aucun cas obligatoire de prendre un membre de l'une de ces 4 familles. Elles sont là en tant que PVs, mais également en tant que références. Libre à vous de les jouer, et de jouer votre propre personnage.

S'il vous reste encore des questions, n'hésitez pas à contacter l'une des trois admins de choc !

CUOR FORTE, ROMPE CATTIVA SORTE ~ "Le courage commande à la fortune". Telle serait la devise de la famille Gatti, puisque du courage, il leur en faut. Ils habitent Carlton Street, ont certes de l'argent, voire pas mal d'argent, mais malheureusement, le père Antonio est gravement malade. Il est atteint d'un cancer depuis deux ans, et il lutte, chaque jour, tout en menant une vie normale, afin de ne pas avoir à affronter la réalité en face. Marcia, sa femme, est ce que l'on pourrait appeler une très belle femme. Coquette, taille de guêpe, elle aura fait tourner des têtes, et elle pourrait facilement se trouver un autre homme, en bonne santé, mais il faut croire que ses vingt années passées à ses côtés ont fortifié leur amour. Ensemble, ils ont une fille, Valentina, dix-neuf ans, pleine de vie, et porte-monnaie plein. Quelque peu superficielle, elle se considère plutôt comme une fille qui aime prendre soin d'elle. En été, vous la retrouverez au bord de la piscine à prendre un bain de soleil, ou dans un magasin à faire du shopping. Voire la fête. Tenez, en parlant de fête, mademoiselle a un lourd secret qui pèse sur ses frêles épaules : il y trois mois, lors d'une fête chez un garçon friqué du bout de la rue, Valentina, après plusieurs verres et autres drogues, a passé la nuit avec lui, et depuis, elle est enceinte. Elle n'ose pas en parler à ses parents, par peur de leur réaction, et d'autant plus après ce qu'elle a appris dernièrement. Mais laissez-moi plutôt vous le montrer en images.

Tu es quoi ?! Debout au portail de la villa des Gatti, Lucia, la petite dernière des Bianco, tentait de parler à Valentina, en lui tendant une lettre. Mais si, regarde, je ne peux pas me tromper Valentina, lis cette lettre et tu comprendras ! Après tout, qu'est-ce qu'elle avait à perdre ? Énervée, la jeune femme arracha la lettre des mains de Lucia, et la lut rapidement, puis moins vite, jusqu'à ne plus pouvoir soutenir tout ça. Sentant son palpitant battre plus vite, elle lâcha la lettre, qui tomba à terre. Faisant les cent pas, tout se bousculait dans sa tête, et elle ne parvenait plus à réfléchir. Non, tu dois forcément te tromper ... Qui me dit que tu n'as pas écrit cette lettre toi-même ? Peut-être parce que j'ai mieux à faire ? Valentina lui fit signe que tout ça n'était pas drôle, en lui lançant un regard froid. Oh mais écoute Tina, si ma mère a écrit cette lettre à ton père il y a dix-huit ans de cela, ce n'est pas pour rien. Elle marqua une pause. Et ça ne m'enchante pas plus que toi d'être ta demie-soeur ! Valentina se précipita pour couvrir la bouche de Lucia de ses mains. Personne ne doit savoir ça, tu m'entends ? Lucia se libéra de son emprise. Pourquoi ?! Valentina était déjà en train de refermer les grilles du portail. Parce que ma famille et moi avons déjà assez de problèmes comme ça. Alors rentre chez toi. Et Tina se mit en chemin pour rejoindre sa grande villa, mais à mi-chemin, elle se retourna une dernière fois vers la jeune fille. Oh, et dis à ton frère de ma part qu'il est un gros con. Une fois à l'intérieur de la villa, Valentina s'effondra contre la porte, pleurant toutes les larmes de son corps. Comment allait-elle s'en sortir ? Le père de son futur enfant était le demi-frère de sa demie-soeur ? Ce qui voulait dire que son père avait trompé sa mère peu après sa naissance ? Beaucoup trop de complications pour une jeune femme perdue de bientôt vingt ans.

PLACES ENCORE LIBRES ~ père/mère (2/2)
- valentina + lucia + son frère (3/3)
- mère de lucia et maîtresse du père (1/1)
- cousins (3/3)
- oncle/tante (2/2)
- et proches en délire (illimités)

LA BOHÈME, ÇA VOULAIT DIRE, ON EST HEUREUX ~ Les Buckley, ou la famille la plus ancienne de Fitzroy Street. Carl, le père, est l'arrière petit-fils du premier Buckley à avoir mis les pieds de ce côté-là. Meredith, la mère, est une Anglaise aux origines ukrainiennes, qui n'a pas su résister aux beaux yeux de notre Carl. Et pour cause, ils avaient de nombreux points communs, dont leur amour pour les arts. Monsieur est gérant de petites galeries par ci par là dans le quartier, et madame est sculptrice. Vingt-cinq ans que leur amour dure, et qu'il leur a apporté leur premier enfant, Marley. Une jolie fille aux beaux cheveux bruns, qui a plus tenu de son père physiquement. Elle est la tête du trio d'enfants, et a toujours été une très bonne élève, assidue, et très joviale. Arrive ensuite Pippa, la brunette, qui est le portrait craché de sa mère. Grande et mince, elle a gagné de nombreux concours de miss durant son enfance, au grand damne de sa mère, qui aurait préféré la savoir plus "vraie" que tous ces artifices. Mais que voulez-vous, il en faut bien une. Et finalement, nous avons Austyn, le petit dernier. Lui, contrairement à ses soeurs, est l'exemple parfait de la bohème. Il est très fleur bleue, et pas grand bruit, ce qui lui a souvent valu les moqueries de ses camarades à l'école, allant jusqu'à le traiter de petite tapette, si si. Mais afin de mieux comprendre cette famille un peu particulière, laissez-moi vous présenter une scène quotidienne du temps où les deux aînées vivaient encore dans la maison familiale.

Merde, qui c'est qu'a vidé la dernière bouteille de lait ? Descendant gaiement les marches qui menaient au salon, Marley attrapa une pomme qui se trouvait dans la coupe de fruits sur la table de travail de la cuisine, avant de se mettre à taquiner sa soeur. Qui a vidé la bouteille de lait serait plus français en fait. Lui tirant la langue et répétant sa phrase sur un ton plus aigu de moquerie, la brunette ne put répliquer, puisque sa mère venait de faire irruption dans la cuisine, les cheveux en bataille et plein d'argile la figure. Okay, je vais aller prendre ma douche, je ferais mieux. Bonjour quand même mon ange ! C'était peine perdue. S'approchant de Marley, elle lui déposa un baiser sur le sommet du crâne. Et toi ma chérie, comment va ce matin ? La jeune femme lui répondit agréablement, lui présentant ses différents projets, sur lesquels elle avait travaillé avec acharnement, notamment son projet en chimie. Du haut de ses dix-sept ans, elle se défendait plutôt pas mal la petite. Oh tiens, bonjour Austyn, bien dormi ? Encore endormi, il répondit cependant à sa mère, lui faisant un signe de la main, et versa ensuite ses céréales bio dans son bol. Soudain, un cri retentit depuis l'étage, et c'est une Pippa toute trempée, avec du savon sur les épaules et dans les cheveux, enroulée dans sa serviette qui apparut. Est-ce que quelqu'un peut me dire pourquoi est-ce qu'il n'y a plus d'eau chaude ?! Oh pardon ma chérie, ça doit être moi, j'ai pris ma douche tôt ce matin, j'ai une réunion avec un nouvel artiste dans peu de temps. Mais ne t'en fais pas, dès que le soleil aura pointé le bout de ses rayons, l'eau sera de nouveau chaude. C'est alors que le bruit d'une pluie toute fraîche se fit entendre. Ou pas. Vois le bon côté des choses, de cette façon, tu seras déjà en connexion avec la nature, tu es déjà mouillée. Pippa attrapa un coussin et le lança sur son petit frère. Elle se mit ensuite à regarder chaque membre de sa famille, qui ne semblait pas du tout être alarmée par la situation. Le fait d'avoir un chauffe-eau solaire, d'utiliser une éolienne pour produire leur surplus d'électricité, de manger bio et de s'appeler "artistes" tout le temps ne semblaient pas les déranger le moins du monde. Ce qui leur valait d'ailleurs d'être parfois critiqués dans la rue. La famille lourdingue. Mais ils s'en fichaient, et même Pippa la petite rebelle. Dans le fond, elle l'aimait sa famille, aussi étranges soient-ils. Parce qu'ils sont tous des Buckley, et que le sang est plus fort que tout.

PLACES ENCORE LIBRES ~ - parents + frère (3/3)
- cousins (3/3)
- oncle/tante (2/2)
- et proches en délire (illimités)

LE FRIC, C'EST CHIC ~ La famille riche et puissante par excellence du quartier de South Yarra. Michael et Sophia Thompson font la paire, et cela depuis leur travail. Ils sont tous les deux avocats réputés, qui sont parvenus à se faire un nom dans le milieu. Monsieur a toujours voulu être avocat, et il a réalisé son rêve, tandis que madame, elle, a d'abord touché à la politique. Elle a été conseillère personnelle de plusieurs gouverneurs aux États-Unis, puisqu'elle est Américaine, contrairement à son mari, qui lui est Australien. Leur première rencontre eut lieu à un procès, où ils étaient tous les deux adversaires, et ils ont fini par se marier deux ans plus tard. Abby a été la première de leurs trois filles à être arrivée. La petite première, de longs cheveux blonds, un sourire à en faire craquer plus d'un, et une tenue irréprochable. Julia, quant à elle, a été la première des jumelles à arriver, accompagnée de sa soeur, Sasha. Les jumelles ne se ressemblent pas comme deux gouttes d'eau, mais on ne peut se tromper sur leur origine commune. Elles s'entendent vraiment bien, et ont toujours été de parfaites petites soeurs pour leur aînée, Abby. D'ailleurs, toute cette famille a toujours été irréprochable, et cela a marqué les esprits des habitants du quartier. Mais derrière toute perfection se cache un lourd secret, n'est-ce pas ? Laissez-moi vous le prouver par a + b.

Tenez les filles, une lettre des parents ! Julia, la petite cheftaine, venait de rentrer du boulot, du haut de ses vingt-quatre ans, avec le courrier de la maisonnée. Assises tranquillement à regarder la télévision, Sasha et Abby levèrent la tête en même temps vers leur soeur. Sasha fut la plus rapide. Oh fais voir ! Qu'est-ce qu'ils annoncent de beau ? Julia retira son manteau, et raconta ce qu'elle avait lu par la même occasion. Oh pas grand chose, que leur voyage en France se passe bien, qu'on leur manque, qu'ils nous embrassent, et blablabla ... Et oui, les époux Thompson s'étaient rendus en France, pour prendre du temps pour eux, pour s'éloigner du quotidien, et ils écrivaient toutes les semaines à leurs trois princesses, qui avaient bien grandi à présent. Ils ne savent vraiment pas ce qui se trame ici hein ... Et les jumelles se mirent à ricaner ensemble, fières de leur trouvaille. Oui, maintenant, elles n'étaient plus obligées de se cacher, de faire semblant d'être de petits anges, alors qu'en réalité, elles étaient comme toutes les autres jeunes femmes de leur âge. Elles aimaient sortir, voir leurs amis, et même finir leurs soirées complètement torchées. Vivre quoi. Soudain, elles se rappelèrent qu'elles n'étaient pas seules. Sasha se tourna vers Abby, et la toisa du regard. Et toi, tu ne dis rien ? La dénommée Abby lui lança un regard vague, comme si elle n'avait jamais réellement été présente. Ce qui fit que les jumelles ne lui prêtèrent plus attention, et montèrent se préparer à l'étage. Non, Abby, elle, était préoccupée par autre chose. Elle appréhendait le jour du retour de ses parents. Elle ne savait absolument pas comment leur avouer qu'elle était homosexuelle. Oui, maintenant elle avait un peu moins de mal avec ce terme, et elle s'affirmait presque totalement. Mais tout cela était encore fragile, alors il fallait faire attention. Seigneur, pourquoi est-ce que tout devait toujours être aussi compliqué ? Quoi qu'il en soit, une fois que ses soeurs étaient rentrées chez elle, Abby éteignit pour la dernière fois la lumière dans cette maison où elle avait grandi, puisqu'elle allait la mettre à louer. Et oui, les filles Thompson allaient tourner une page de leurs vies en laissant derrière elles leur maison familiale. C'était peut-être ça après tout, grandir.

PLACES ENCORE LIBRES ~ - père + mère (2/2)
- jumelles (2/2)
- cousins (3/3)
- oncle/tante (2/2)
- et proches en délire (illimités)

PASTIS PAR TEMPS BLEU, PASTIS DÉLICIEUX ~ La famille la plus cool du coin. Habitant St Kilda Street, ils ont toujours les pieds dans l'eau, et ils ne s'en plaignent pas. Daniel, le père, est guitariste dans un groupe local, et il adore ça. Sarah, la mère, est architecte, et elle-même dessiné les plans de la maison familiale. En somme, ils ne manquent pas d'argent, mais ils en profitent tranquillement, surtout pour organiser de grandes réceptions. Et oui, les Hewitt adorent ce genre de vie, tranquille, peinarde, avec un été interminable. Ils savent que rien ne dure toujours, mais ils aiment y rêver. Leur fils aîné, Richard, est mannequin à vingt-quatre ans. Belle gueule, pas très malin, mais qu'importe, son physique le sauvera toujours, n'est-ce pas ? Son petit frère, Andy, contrairement à son aîné, est très intelligent, on dit même qu'il aurait un QI supérieur à la moyenne. Mais il s'en fiche, ce qui le passionne lui, c'est le surf. Il a dû être emporté par une vague étant plus petit, et des sirènes ont dû l'élever, puisqu'il ne jure que par l'eau et le surf donc. Et ses parents ont beaucoup de mal à le comprendre, ce petit de vingt-deux ans, qui est un peu dans sa bulle, il faut dire les choses comme elles sont. Mais regardons un instant une scène quotidienne à la maison Hewitt, histoire de mieux les comprendre, qu'en dites-vous ?

Andy, c'est toi qui a touché à mon gel ? Le dénommé Andy s'apprêtait à descendre les escaliers, lorsqu'il entendit son frère dans la salle de bains. Ouh, t'es pas aussi canon le matin au réveil tu sais ... Réponds à ma question tu feras mieux microbe. Andy leva bien droit son majeur en direction de son frère. Tiens Riri, garde-le bien celui-là. Sur ce, il descendit enfin ces escaliers, tout fier de lui. Comme s'il avait une tête à lui piquer sa saleté de gel pour les cheveux. Il n'en avait rien à faire de tous ses produits pour l'embellir. C'était clair : Andy se fichait d'être le plus canon, le plus tout ce que vous voulez. Il était bien différent de son grand frère. Une fois au salon, il découvrit un mot de ses parents, qui leur disait qu'ils étaient allés en weekend en amoureux, et qu'ils leur laissaient la maison. Trop aimable pensa Andy. Au moins, il n'aurait pas ses parents sur son dos, à lui répéter sans arrêt qu'il devait arrêter avec le surf, que ce n'était pas un domaine qui avait de l'avenir, et patati, et patata. Non, ce weekend, il était libre. Souriant jusqu'aux oreilles, il courut prendre sa planche de surf au garage, et alors qu'il s'apprêtait à aller dompter la vague, une voix qu'il aurait préféré oublier se fit entendre. Tu vas où comme ça microbe ? Faire des courses, mais je vais voir le roi Triton pour qu'il m'aide avant en fait. Okay, bah fais vite, je dois sortir ensuite moi. Andy était désespéré. Son grand frère n'avait rien dans la tête, c'en était déplorable. Sérieusement. Quoi qu'il en soit, il préféra le laisser, et il se rendit directement à la plage, en ayant juste à descendre quelques marches. Il pouvait dire merci à Maman d'avoir été aussi inspirée. Elle était à l'origine de tout ça après tout. Mais ne parlons pas de tout ça pour l'instant. La mer l'appelait, et son grand nigaud de frère était loin. Que demander de mieux ?

PLACES ENCORE LIBRES ~ père + mère (2/2)
- frère (1/1)
- cousins (3/3)
- oncle/tante (2/2)
- et proches en délire (illimités)