NOM ∞ Kennedy. PRÉNOM(S) ∞ Zachary, appelé "Zack" la plupart du temps et lorsque c'est pas le cas, c'est qu'il a fait une grosse connerie. Aucun deuxième prénom, si vous lui demandez pourquoi il vous répondra que c'est parce que ses parents on fait tellement de gosses -six- qu'ils allaient pas en plus se casser le cul à trouver des deuxièmes prénoms pour chacun. Après bon, c'est un argument bidon, parce qu'il est l'aîné. SURNOMS ∞ Zack, par la majorité de ses connaissances, après, ça dépend de son intimité avec son interlocuteur. ÂGE ∞ vingt-cinq ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ neuf octobre '86, Melbourne. ORIGINES ∞ australiennes. MÉTIER/ETUDES ∞ pilote automobile. SITUATION FINANCIÈRE ∞ aisé STATUT CIVIL ∞ en instance de divorce. GROUPE ∞ team gabrielle.AVATAR ∞ jon kortajarena.

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est issus d'une famille nombreuse, il est le grand frère de cinq morveuses ✜ il s'est marié à vingt ans avec Orane, son amour de lycée avec qui il est depuis ses dix-huit ans ✜ a été un important consommateur de drogue durant sa jeunesse, on peut dire que Zack a eu une adolescence perturbée, mauvaises fréquentations, envies d'ailleurs ect ✜ a toujours voulu être coureur automobile, pour lui il s'agit de l'aboutissement d'un rêve ✜ a eu un grave accident de voiture il y a six mois, sa voiture a exploser lors d'une course. Il a été grièvement blessé et vient tout juste de reprendre les entrainements ✜ a passé quelques jours dans le coma ✜ a un chien nommé Hulk ✜ a toujours été surprotecteur vis a vis de ses petites sœurs et de sa femme, il d’ailleurs dit un jour qu’il n’hésiterait pas à tuer n’importe qui oserait leur faire du mal, ouais, il se la joue gros dur parfois ✜ sa femme l’a quitter il y a quelques mois lorsqu'elle l'a surprise avec une groupie ✜ aime toujours sa femme ✜ a toujours été très sociable, sans arrêt entouré, il se croyait aimé et apprécié jusqu'à l'accident qui a faillit lui coûter la vie, il a ainsi pu constater que rare était ceux qui resterai a ses cotés envers contre tous ✜ adore les orages ✜ adore charrier Aaron ✜ déteste le soda, s’il pouvait, il ne boirait que du café ✜ n’a toujours pas avoué à ses parents que sa femme souhaitait divorcer et pour cause, ils adorent Orane ✜ il a fait de la guitare étant ado, parce qu’il pensait que comme ça il pourrait draguer encore plus de filles, mais il arrêté, parce qu’il était nul ✜ est fan de voitures, de course évidemment, mais pas seulement, il aime les vieilles voitures, qu’il retape dans son garage ✜ ne prétend pas avoir de talent particulier, sauf en ce qui concerne la mécanique, la conduite et le surf (mais moins) ✜ a arrêté de fumer officiellement il y a trois ans, mais en refume une de temps en temps ✜ n’aime que les brunes, ne trompe sa femme qu’avec des blondes ✜ à six ans, il était persuadé d’être un super héros, il a d’ailleurs essayé de voler en sautant par sa fenêtre, il a atterrit sur la voiture de papa et en garde une cicatrice dans le dos ✜ absolument pas maniaque, il est loin d’être à cheval sur le rangement, sa femme non plus autant dire que chez eux, c’est –c’était-, un joyeux bordel ✜ à l’école, il était toujours l’avant dernier de sa classe, histoire de sauver l’honneur ✜ est persuadé que s’il n’avait pas été pilote automobile, il n’aurait absolument rien fait de sa vie ✜ toujours le dernier debout en soirée, l’alcool ne lui fait plus grand-chose, l’habitude qu’il dit ✜ bien qu’en instance de divorce, il parle toujours d’Orane comme de sa femme, la sienne, il n’est pas prêt à la laisser partir et l’imaginer dans les bras d’un autre le rend fou

01. Depuis quand êtes-vous à Melbourne ? Depuis toujours, il y est né, ses parents y sont nés. Toute sa famille vit ici. Il est d’ailleurs persuadé qu’il finira sa vie à Melbourne.
02. Qu'est-ce qui vous a poussé à vivre ici ?: Le fait qu’il y soit né, que sa famille y vive. L’habitude plus qu’autre chose finalement, il n’a jamais vécu ailleurs, et ça lui convient très bien.
03. Comment est, pour vous, la vie dans ce quartier ? C’était bien, plutôt très bien même. Chez lui ça puait le fric, le bonheur et l’amour. Maintenant qu’il squate le canapé de son cousin, la vie ici est beaucoup plus compliquée. Il est cependant bien content de ne pas s’être trop éloigné de sa –future-ex- femme.
04. Entre Lynette, Bree, Gabrielle, Susan et Renee, par qui vous identifiez-vous le plus ? La Gabrielle, celle des premières saisons, qui trompait son mari avec le jardinier.
05. Faites vous attention aux apparences ? Comme tout le monde. Il est pilote automobile, il est connu internationalement, alors forcément, il se doit de faire en sorte que les apparences jouent en sa faveur.

T’es trop con pour penser aux conséquences. T’as toujours été comme ça et même à vingt-cinq ans, marié, passé à deux doigts de la mort il y a peu, tu restes le même gros con que t’as toujours été. C’est plus de l’insouciance à ce niveau là mon pauvre, mais de la connerie, pure et dure. Tu l’embrasses à pleine bouche, dévores ses lèvres alors que vos corps s’entrechoquent. Elle n’est pas foncièrement belle. Elle ne vaut pas Orane en tout cas. Qui lui arrive à la cheville de toutes façons ? Pas cette fausse blonde en tout cas. T’aimes même pas les blondes, mais c’est plus facile. Plus facile si la nana que t’es en train de ramoner –parce que ça va pas plus loin que ça- lui ressemble pas, histoire de pas te sentir coupable tout de suite. On verra plus tard pour la culpabilité. Tu lui achèteras un sac, elle sera contente. L’autre blondasse pousse gémit, t’aimes ça, t’as toujours adoré plaire, besoin viscéral. Ce que t’aimes moins ? Entendre les talons de ta femme claquer sur le parquet, l’entendre s’approcher, de sa démarche légère et classieuse, de la scène du crime. T’aimes moins te rendre compte du bordel que t’es en train de foutre dans ton couple et dans ta vie. T’aimes moins sentir sa présence derrière toi, voir l’autre blonde écarquiller ses yeux globuleux, l’entendre lâcher les sacs qu’elle avait dans la main et courir vers la porte. Ouais, t’aimes beaucoup moins. Tu cours hors du lit, enfiles ton boxer qui traîne sur le sol et poursuis –c’est le mot- ta femme avant qu’elle n’atteigne la porte. T’attrapes son poignet, la forces à te faire face. Elle lutte contre les larmes et ça te broies le cœur, tu tenterais bien un truc, c’est pas ce que tu crois, mais c’est pas le moment, c’est le moment de rien en fait. Tu t’sens comme un gosse qui viendrait de s’faire prendre la main dans le sac, tu sais pas quoi dire, pas quoi faire et au fond de toi tu le sais très bien, y a plus rien à dire, plus rien à faire. La porte claque, la blonde se casse, tu l’avais presque oubliée celle-ci. Dans notre lit Zack… Sa voix tressaute, ton cœur aussi. Tu la voyais hurler, te balancer des assiettes à la gueule, comme dans les films, et faire ressortir son côté mélodramatique. Ta future ex-femme te regarde avec ses beaux yeux trempés. Ouais, dans votre lit, mon dieu, mais quel abruti tu fais. Elle n’est pas en colère, et c’est le pire, elle est blessée, humiliée peut-être, dégoûtée. Dégoûtée de toi. Ca se voit à son regard, à la façon qu’elle a de défaire son bras de ton emprise. Jamais tu ne l’as vu comme ça, jamais t’aurais pensé qu’elle pourrait t’adresser ce genre de regard qui t’donnes envie de mourir sur place. Sept ans que tu l’as connais. Sept ans que t’es fou d’elle au point de l’avoir épousée à vingt ans, au point de l’imaginer comme la mère des tes futurs gosses. Et en sept ans jamais elle ne t’avait regardé comme ça. Y a des premières fois avec moi tous les jours. Elle t’as dit ça la première fois que tu l’as vu. Elle te l’a dit lors votre premier baiser, de votre première fois ensemble –et de sa première fois tout court-. C’était vrai, elle te surprenait tous les jours, pas de routine avec une fille comme ça. Orane, c’était la fille parfaite à l’époque, et elle l’est restée malgré les années. Elle était là quand t’étais un petit branleur sur la route de l’autodestruction, elle était là pour t’aider à réaliser ton rêve, elle était là quand t’étais au fond du trou, quand tu t’es rendu compte après ton coma que finalement, peu de gens sont là pour toi tant t’es plus au top. Elle t’as tenu la main dans les bons et les mauvais moments et toi tu craches là-dessus. Elle était folle de toi. Au point de fermer ses yeux sur tes mensonges et tes tromperies, desquels elle n’était pas dupe. Par amour, elle n’a jamais rien dit, feignant la naïveté, parce qu’elle pensait te faire changer… La vérité, c’est que tu l’as jamais méritée, que ce soit à dix-huit ans ou maintenant et t’as beau penser que de lui offrir une belle maison et de quoi se payer toutes les fringues de la terre ça serait suffisant, c’est pas le cas. Elle serait mieux sans toi, avec un gars qui n’irait pas baiser la première groupie qui passe. Tu sais même pas pourquoi elle est encore avec toi, alors qu’elle pourrait avoir n’importe qui. Elle part vers votre chambre, tu sais, celle que tu as souillée pauvre idiot, et commence à faire ses valise. Le tout avec la douceur et le calme qui lui ait propre et qui dénote terriblement avec la situation. Arrête Orane. Tu poses ta main, sur son bras, doucement, délicatement, comme si, pour la première fois, tu t’étais rendue compte de l’état de fragilité dans lequel tu l’avais mise, à force de lui mentir constamment toutes ses années. Il est hors de question que j’passe une nuit de plus, une minute de plus avec toi ! Elle parle doucement, calmement et pourtant t’as l’impression qu’elle vient de te cracher à la gueule, tellement ça fait mal. Ca t’retourne le bide de l’entendre dire ça, parce qu’il y a quelques minutes seulement, t’en étais persuadé, vous finiriez votre vie ensemble, vieux, ridés et encore fous amoureux. C’est moi qui pars... C’est le mieux à faire non ? Ne pas la contredire, tu lui donneras l’espace qu’elle voudra, tout en étant sûr qu’elle ne t’échappe pas trop, que quoiqu’il arrive, elle sera là et pas partie tu ne sais où avec tu ne sais qui. Elle hoche simplement la tête. Je veux qu’on divorce, Zachary. Tu l’avais pas vu venir celle-ci. BAM ! Grande claque dans la claque. T’y crois pas. T’as envie de chialer. De crever sur place. Tu peux pas la laisser partir, c’est pas possible, pas négociable, pas envisageable. Tu l’imagines déjà se retrouver un mec, tirer un trait sur toi et ça te rend dingue. Tu poses tes mains de part et d’autre de son visage, plante tes yeux dans les siens et elle se mord la lèvre inférieure pour retenir ses larmes, dans d’autres circonstances t’aurais trouvé ça sexy à crever mais là, ça te brise le cœur. Orane, dis pas ça, je t’aime. T’abats ta dernière carte. Et pour une fois, tu mens pas. Tu l’aime, comme un dingue, comme jamais t’as aimé une femme et comme jamais tu pourrais en aimer une autre. C’est elle et c’est tout, ça l’est depuis que tu la connais. Ca suffit plus Zack. Pars, s’il-te-plait. T’embrasses son front et elle te repousse. Alors tu fais ta valise, sans rien dire, en prenant soin de laisser le maximum de trucs ici, pour pouvoir avoir une excuse pour revenir. Où tu vas aller ? Tu peux quand même pas débarquer chez tes parents, c’est tellement pathétique. Chez l’une de tes sœurs ? Ca l’est encore plus. C’est toi le grand frère, c’est toi qui es censé les consoler et leur faire la morale, pas l’inverse. Tes amis ? Depuis ton accident, t’es plus vraiment sûr d’en avoir encore. Aaron. C’est ton cousin, ton frère même. Il te prêtera peut-être son canapé. Le temps de réussir à reconquérir ta femme, celle qui tu as perdu à force de te comporter comme le dernier des cons.